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100 000 litres ? J'y crois pas !
Pour que la chose soit confortable, il me faut un arbre. Isolé. Dont je m'écarte d'un large pas, afin de voir, comme Gébé, le monde sans œillères.
Or donc, ce jour-là, j'étais en ville. En ville, je me conforme aux us et coutumes des autochtones. Par respect pour ma mère et l'éducation qu'elle m'a donnée. Je me débraguettais devant un urinoir qui affichait économiser 100 000 litres d'eau potable par an. 100 000 litres ? Je ne me savais pas aussi prodigue et débordant.
Note :
L'objet du délice est un Urimat.
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Commentaires
auprès de mon arbre je vivais heureux, on comprends mieux pourquoi. ah oui. c'est une brève d’urinoir.
signé : potin
5d'après JCSamedi 4 Octobre 2014 à 21:52@FreeB – À la distance réglementaire d'un mètre ?
@laurent – À dame nature ?
@Minik do – C'est le début de la sagesse.
@thé âche – Ce n'est pas encore la production d'un pisse-copie.
@d'après JC – Langue de bois ?
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si une bleuette arrive osera-t-elle te coller une amende?