• 100 000 litres ? J'y crois pas !

    ArbrePour que la chose soit confortable, il me faut un arbre. Isolé. Dont je m'écarte d'un large pas, afin de voir, comme Gébé, le monde sans œillères.

    Or donc, ce jour-là, j'étais en ville. En ville, je me conforme aux us et coutumes des autochtones. Par respect pour ma mère et l'éducation qu'elle m'a donnée. Je me débraguettais devant un urinoir qui affichait économiser 100 000 litres d'eau potable par an. 100 000 litres ? Je ne me savais pas aussi prodigue et débordant.

     

     

     

     

    Note :
    L'objet du délice est un Urimat.

    « L'IresutheSens défiguré »

  • Commentaires

    1
    Samedi 4 Octobre 2014 à 07:43

    si une bleuette arrive osera-t-elle te coller une amende?

    2
    Samedi 4 Octobre 2014 à 07:44

    Un bien bel hommage à la nature !

    3
    Samedi 4 Octobre 2014 à 07:55

    la prochaine fois j'urinerai contre un épicéa...

    4
    Samedi 4 Octobre 2014 à 08:06

    auprès de mon arbre je vivais heureux, on comprends mieux pourquoi. ah oui. c'est une brève d’urinoir.

    signé : potin

     

    5
    d'après JC
    Samedi 4 Octobre 2014 à 21:52

    L'arbre qui cache la forêt ?

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    6
    Samedi 4 Octobre 2014 à 22:30

    @FreeB – À la distance réglementaire d'un mètre ?

    @laurent – À dame nature ?

    @Minik do – C'est le début de la sagesse.

    @thé âche – Ce n'est pas encore la production d'un pisse-copie.

    @d'après JC – Langue de bois ?

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