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Maison 303
Parlons plutôt de la maison montrée hier, à l'invitation de Paule et oncle Pa. Qui y voient tous deux, maison en feu. C'est fichtre vrai. Alors que peignant, j'étais essentiellement préoccupé par l'espace glaiseux en avant de la maison. Labour improbable. En tête – petite musique – la terre des champs de Gaston Couté. Socle rare quand les maisons flottent le plus souvent. En feu donc*.
Je retiens encore "reconstruire à l'identique", "boucler la boucle" ou "chaque maison est unique", comme autant de petits cailloux sur mon parcours.
– Serait plus utile de biner l'herbe qui boit l'eau du légume au potager !
En deux mots quand même : cette maison bleue pour essuyer le pinceau sur une photo ratée.
Maison 303, 2009, acrylique et huile sur tirage photo, 10 x 15 cm
* Maison en feu m'est indissociable du titre d'un recueil de Claude Vaillant – poète trop méconnu – : Dans l'incendie tout a brûlé (Autres rives, 1984) qui commence par ces vers : Avez-vous jamais vu / insulter l'arbre / quand l'hiver a tari / la sève et le feuillage ?
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Après deux jours en compagnie de Jean (l'astuce) Bertrand et ses talentueux collaborateurs, le retour à la réalité maçonnique d'Ahoui – le blog – va paraître des plus fade*.
Consolons-nous : quand le bâtiment va, tout va.
Maison (non répertoriée)
2009, huile sur carton, 20 x 28 cm environ.
* Je remercie de son élégance l'amie qui m'a discrètement fait part d'une erreur grammaticale dans la page d'hier.
J'ai suivi Jean (l'astuce) Bertrand dans son choix de ce singulier singulier pour des plus ancien insecte terrestre, comme nous y autorise Maurice Grévisse dans le Français correct (Duculot, 1982). Un des plus anciens insectes terrestres pouvait s'écrire tout autant – et, à mon sens, plus justement.
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Photo Bernard Ray
Jean (l'astuce) Bertrand n'est point homme à confondre la pensée politique et la protection de la Nature...Mais force est de constater que Calopterix Xanthostoma (ici une femelle erratique), le caloptéryx occitan, superbe bijou volant, aux ailes d'un miel qui confondrait une abeille égarée, se réfère à la bible trotskiste : le Programme de transition, écrit par Léon Trotski en 1938...Nous savions que la libellule, en l'occurence cette demoiselle, était un des plus ancien insecte terrestre, la retrouver dans une telle actualité, nous ravit.D'un hélicopère à l'autre, je mesure toutes les économies à faire...Je vais acheter ce manuel d'un certain savoir vivre... et qui ne réclame pas cinq cents heures de vol pour finir au ras des pâquerettes...Jean (l'astuce) Bertrand
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On en parle, urbi et orbi, c'est un film... bien financé at Home, chez les banquiers en mal de nature...
Jean (l'astuce) Bertrand n'est point homme à se taire quand "l'autre" nous abuse...
Voilà le seul hélicoptère que je pratique, à pied et sans sponsor !
Platetrum depressa ou, au choix, Libellula depressa...
Cela fait tout : vol en stationnaire, démarrage fulgurant, marche arrière si nécessaire, et... recharge d'énergie par soleil... et quelques mouches et autres moustiques...
Même pas présenté au Salon du Bourget !!!
Et pourtant, on y voit toute la beauté du monde...
Jean (l'astuce) Bertrand
Crédit photos : Jean (l'astuce) Bertrand & Maïette, chacun selon son sexe.
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– Il y avait longtemps qu'on n'avait pas vu une maison... Ça va pas recommencer ?
– Je le crains.
Voici une petite maison sans prétention. Avec un arbre.
– Un arbre ? Où donc ?
Maison "comme s'il s'agissait" (non répertoriée)
2009, acrylique sur page de revue
20 x 30 cm environ
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Un oiseau a-t-il inspiré Mohammed-Amin (11 ans) en atelier d'écriture avec Jean-Claude Touzeil ?
Coup de tonnerre
C'est un ténorino
qui frappe à la porte
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