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À la faveur d'un déménagement, quelques dessins et toiles ont revu la lumière.
Totalement oubliées, deux peintures sur gerflex.
Il ne faut pas manquer d'imagination pour y voir des nus – ou fragments de nus.
Nus, 2007, acrylique sur gerflex, 40 x 40 cm
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Ce n'est pas où je souhaitais aller.
C'est où je suis arrivé.Raté mais pas tant.
Épatant même.
En toute modestie.Femme en manteau rouge (étude), 2017, craies sur papier préparé
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Quand les ami-e-s lisent, nul besoin de tourner les pages.
Document Prospero théâtre – Cliquer ici pour une vue agrandie.
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– Et toi grouillant, que manges-tu ?
NorgeCarotte(s), 2006, craies Conté sur papier, 50 x 70 cm
Le véganisme est-il l'avenir de l'homme ? demandait France inter, dans Grand bien vous fasse, mardi 23 mai.
Quand, dans l'émission, on lui oppose que le lion mange la gazelle, Ophélie Véron réplique que « les mamans chats mangent les crottes de leurs lapins »*, mais que ce n'est pas une raison pour les imiter. Ah ! Quand même !
* Et ne parlons pas des canards colverts, entre guillemets [qui] violent, entre guillemets, les femelles
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Billet paru en octobre 2010, augmenté de la contribution essentielle d'un homme de la partie.
Victor Hugo et Marcel Proust, lors d'un souper à Guermantes (Seine-et-Marne) – Photo NNDans ses Mémoires, Juliette Drouet relate qu'au cours du souper, la discussion a porté sur le personnage de Monsieur Madeleine. Madeleine dont Marcel Proust fera plus tard, à ses temps perdus, un objet de recherche.
Ce même soir, le grand poète français, prodigue en alexandrins, aurait également déclaré :
« Voudriez-vous Marcel, céans passer le sel.»Le propos n'a cependant pu être vérifié.
D'autres sources généralement bien informées* affirment que Marcel, après une discrète quinte de toux, aurait répondu :
« Du sel pour votre esprit, quoi de plus naturel.
Comment vous dire non, comment vous dire non,
Cependant, cher Victor, nous petit-déjeunons...»* Propos rapportés par Topa.
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Vue à St-Ouen-en-Champagne, mai 2017 – Photo Michel FoucaultCe vendredi 7 avril, on donnait Du rififi chez la comtesse. une pièce de Jean-Claude Martineau.
Faut-il-il voir malice dans ce voisinage d'affiches ?
Doit-on se réjouir que la troupe n'ait pas choisi, parmi le répertoire de l'auteur : La Dégringolade, comédie en 3 actes ?Note : le titre est aussi emprunté au dramaturge.
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Après la propagande électorale, l'annonce de la fête locale.
Les murs muent.
Rue de la Vicomté 02, 2017, acrylique sur carton, 100 x 50 cm
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