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Ah que
Dessin du 20 janvier 21
acrylique et encre de Chine sur papier, 39 x 26,5 cmQuestion de sécurité posée dans la revue La Montagne et Alpinisme (janvier 1965) :
« Le casque doit-il protéger d'un caillou de 1 kg tombant de 200 m ou d'une pierre de 2,5 kg tombant de 10 m ; nous n'envisageons ni le parpaing ni le piano à queue.»
Certes, le parpaing peut être écarté, mais est-on vraiment à l'abri d'une chute de piano à queue ?
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Commentaires
Bonjour, pluie de parpaings et averse de pianos sont en effet rares mais, comme tout accident basé sur la probabilité, sait-on jamais ce qui nous "pend au nez" ?
Bien illustré !
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Vendredi 29 Janvier 2021 à 20:25
Dans l'ordre des mérites, le dessin précède le texte. J'avais également sous le clavier le procès d'un architecte pour un parpaing descellé dont la chute entraîne celle d'un ouvrier ou un caillassage à coups de parpaings d'un escadron de gendarmes par une horde de mécontents. J'ai opté pour la moins dramatique des situations pour ne pas ajouter à la morosité ambiante – celle qui nous tord le nez.
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4yannickVendredi 29 Janvier 2021 à 10:27
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Il serait peut-être opportun de nous replonger dans le livre de Fred : "Philémon et le piano sauvage..."
En un seul mot : oui.
En deux mots : en effet.