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Aimez-vous Liszt ?
Enzo Mari, Chaises sedia, Autoprogettazione, 1974 – Piacé (72)
« Malgré nos beaux fauteuils gothiques et nos coussins à la Voltaire, ne sommes-nous pas tous assez mal assis entre un passé dont nous ne voulons plus, et un avenir que nous ne connaissons pas encore ? » Hein ? Je vous le demande avec Franz Liszt.
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Commentaires
D'autant plus délicat si l'on est trois pour deux chaises...
Ah, Franz ne magnait certes pas la langue de bois.
le cul entre deux chaises vaut il mieux que la chaise entre deux culs ? tout dépend des culs c'est sur.
signé : Si ai-je ?
5MartineSamedi 25 Octobre 2014 à 10:20Mal assis, qui n'a pas une bonne assise. Je ne connais point la musique de Liszt pour porter jugement, mais songe qu'il peut y avoir, malgré l'inconfort, une certaine qualité dans le fait de n'être pas trop bien assis. Pauline Croze l'a chanté :"... c'est vrai qu'on est mal assis là ..."
@yannick – C'est parfaitement fondé !
@Topa – La pluie surtout.
@K – Pas la langue de bois certes, mais il aurait pu se consacrer au piano.
@thé âche – « Ah si ! » (Yves Barré, État de chaises, 2014)
@Martine – Par temps de pluie, le porteur doit choisir : tenir un parapluie ou tenir le siège.
@Lily – J'ai entendu le même propos pour faire accepter l'inconfort des sièges d'un nouveau théâtre manceau.
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Zanzotto ( poète italien) écrivait dans " Idiomes",
un poème " les rempailleurs", il y raconte leur façon de relier le passé avec l'avenir...
en ravaudant les chaises !