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Au diable
Vacances en diable – juillet 08
Le diable que j'utilise pour déplacer les pierres de sculpture, transformé en jouet.
Un enfant, c'est moins lourd qu'une pierre ; et beaucoup savent nager.*
Le mot du jour (après chute vélo) :
« Ma blessure est grande comme un feu d'artifice !»
Oh ! la belle rouge !
* Extrait des commentaires de la Cicatrice.
Cailloux
J'ai cueilli des cailloux
devant la porte de ma maison.
Je les ai jetés dans l'eau.
Ils ne savent pas nager !
Justine
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Commentaires
On disait – on dit peut-être encore – dans le canton de Vaud, gadin pour layette. Faire le gadin d'un enfant.
Et, autre réplique de Jean Gadin : « J'essaie, j'essaie, j'essaie.»"Diable, diable, dit-il en se grattant la tête..." (Victor Hugo)Du même, mais dans Lucrèce Borgia, cette fois :
« C'est qu'il faut que la queue du diable lui soit soudée, chevillée et vissée à l'échine d'une façon bien triomphante pour qu'elle résiste à l'innombrable multitude de gens qui la tirent perpétuellement.»
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Là où j'habitais petite, une pierre se disait : "un gadin". Et une chute de vélo, "prendre un gadin".
D'où la réplique culte, dans " Caisse de brune":
Jean Gadin : "t'as de beaux bleus, toi, tu sais..."
(voui, c'est l'été, et je me lâche aussi!)