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Auparavant
À force d'avoir n° 17
2020, acrylique sur toile, 20 x 20 cmAvant (en mai), ci-contre.
Après (en juin), ci-dessous.
En ajoutant des nuages – oui, ce ne sont pas des disques de coton hydrophile qui auraient déjà servi au démaquillage – en ajoutant des nuages, disais-je – suis obligé de répéter mon gérondif*, étant donnée la distance que l'incidente met entre lui et la principale –, en ajoutant des nuages donc, l''artiste a voulu montrer que ce n'est pas un paravent qui cache les deux personnages – l'un est un cheval qu'on reconnaît à ses pieds chaussés de sabots –, mais un coin de ciel, d'une nuance de bleu loin de satisfaire ledit artiste qui, en manque de modèle par ces temps pluvieux, a trouvé pertinent d'inviter trois cumulus afin qu'on comprît son intention.* – Poil aux tifs
– C'est malin !
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Commentaires
Ce sont sûrement des cumulus (cumuli ?) de beau temps, aurait dit Eugène Boudin dans son ouvrage bibliophilique : Les cent ciels.
Bon sang, mais c'est bien sûr.