• Automne ? Où ça ?

    Ni automne, ni Chine dans l'Automne à Pékin de Boris Vian.

    Pas de carottes* dans les Carottes fraîches de Laurent Deheppe** ! Pour l'illustration du recueil, je me serais bien vu croquer des carottes. Je sais faire. C'est orange à un bout. Tant pis, pas de carottes, mais un frisson** qui traversait les poèmes : l'herbe froissée après le passage des amants.

     

    L'herbe froissée après le passage des amants

    L'herbe froissée après le passage des amants (206) – 2013

     

     

    * Enfin si : un petit bouquet, en passant, sur la table. Qu'on lira sur l'écran (I.D. 408, de Claude Vercey) ou mieux dans le recueil qui vient de paraître dans la collection Polder (éditions revue Décharge et Gros Textes). Voir le site de la revue de poésie Décharge.

    ** Et vous avez vu le blog ?

    *** Ne me faites pas dire ce que je ne dis pas. Cela traduit une lecture à un moment donné et c'est réalisé pour servir le poète.

    « Partout, la poésieL'herbe encore »

  • Commentaires

    1
    Jeudi 9 Mai 2013 à 05:43

    Y a de la joie !

    Le papotier demande si on peut participer ?

    2
    Jeudi 9 Mai 2013 à 06:20

    Côté pratique : je suppose qu'on peut commander ce livre chez Gros Textes, mais je n'en suis pas sûr...

    (En prévision : un petit billet sur les carottes un de ces quatre...)

    3
    Jeudi 9 Mai 2013 à 06:43

    j'ouvre et lis ce blog avec plaisir.

    cette phrase " l'herbe.." et l'illustration...quelle sensualité!.ça fait rêver! merci

    4
    Jeudi 9 Mai 2013 à 07:21

    La visite m'a plu.

    5
    Jeudi 9 Mai 2013 à 08:05

    À fouler l'herbe du pré ?

    6
    Jeudi 9 Mai 2013 à 08:10

    On peut commander auprès de la revue Décharge.

    7
    Jeudi 9 Mai 2013 à 08:12

    Les petites bêtes, les orties ou les chardons, les coups de soleil...

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    8
    Jeudi 9 Mai 2013 à 08:13

    Tu m'en vois ravi. Tiens, je te rendre une petite visite...

    9
    Jeudi 9 Mai 2013 à 14:55

    pour croquer des carottes on s'arrète aux fanes. c'est plus facile que croquer des frissons.

    signé : pin sot

    10
    Jeudi 9 Mai 2013 à 22:14

    Rouge comme l'amour, comme le feu de la passion.... ton herbe froissée est très évocatrice... Passe un bon week-end... Amitiés...lulu66

    11
    Vendredi 10 Mai 2013 à 17:20

    Pour les carottes c'est râpé !

    12
    Dimanche 12 Mai 2013 à 21:20

    Ces deux livres donneront une belle idée de ce qu'est la collection Polder, ouverte aux écritures nouvelles.

    13
    Dimanche 12 Mai 2013 à 21:22

    Gardons les fanes pour une soupe.

    14
    Dimanche 12 Mai 2013 à 21:23

    Il y a un peu de la poésie de Laurent Deheppe.

    15
    Dimanche 12 Mai 2013 à 21:32

    Parfois.

    16
    Lundi 13 Mai 2013 à 22:41

    Mine de rien, tu l'ajoutes avec talent.

    17
    Mardi 14 Mai 2013 à 12:23

    Pas d'intelligence dans mon commentaire.

    18
    Claude Vercey
    Jeudi 7 Août 2014 à 17:37

    Commander un livre de la collection Polder  ? Eh bien, ça se fait aussi bien à la revue Décharge que chez Gros Textes.

    Et on n'oublie pas que dans la même livraison figure Les Nuages de Pierre Anselmet. Des nuages et des carottes pour 10 €, avouez que c'est donné ...

    19
    Claude Vercey
    Jeudi 7 Août 2014 à 17:37

    On pourrait peut-être ajouter, mine de rien, glisser entre les commentaires, que la préface des Carottes fraîches est signée conjointement de Jean-Claude Touzeil et d'Yves Barré. Mais qu'en revanche, Jean-Claude Touzeil n'a pas dssiné de poils de carottes sur la couverture ... (à la grande déception de ces  fans ... )

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