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Par ahoui le 27 Août 2010 à 00:00
Ici même, en mai, j'accueillais Nane, touché par sa quête de notre collaborateur et ami Jean (l'astuce) Bertrand. Rappelez-vous, son courrier commençait ainsi :
Cher Monsieur Ahoui,
C'est la première fois que j'écris à un blog. J'ai une admiration sans borne pour Jean l'astuce Bertrand. Si aujourd'hui, je m'adresse à vous, c'est que je suis dans l'embarras. Je voudrais lui dire combien j'apprécie son génie. Je ne trouve pas le mot trop fort, car n'est-ce pas du génie, cette intelligence et cette imagination, cette ingéniosité et cette verve joyeuse qui le caractérisent ?
[...]
On pourra relire avec profit l'intégralité de son message et les commentaires avisés des lecteurs et lectrices : Des hommes en chapeau.
Aujourd'hui, nouveau courrier accompagné de photos que je vous livre ci-après.
Là, sur la gauche, l'homme au chapeau !
Désolé ! Pour la lettre de Nane, vous devrez patienter : un papillon de nuit, les antennes coincées dans les pales du ventilateur de l'ordinateur, m'interdit l'accès à ma boîte à lettres. J'espère que d'ici demain, il se sera métamorphosé en chenille et aura filé sans demander son reste.
En attendant, pour ne pas s'ennuyer, la Crevette à Lautrec :
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Par ahoui le 14 Août 2010 à 00:00
Photo à la con – Hommage anthume à Jean l'Anselme – Paris, 4.08.10
Encore un peu de poésie. Cette fois, c'est moi qui m'y colle.
à Denis Parmain
Il avait un beau nez rouge
Quoiqu'il ne bût que de l'eau.
Viv' le commandant Cousteau !
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Par ahoui le 13 Août 2010 à 00:00
Photo à la con – Hommage anthume à Jean l'Anselme – Paris, 4.08.10
Un peu de poésie. C'est Alexandre Deplanck* qui s'y colle.
La Luciole et la Violette
La Violette, un jour, dit à la Luciole :
« Ma chère sœur, vous êtes folle
De vouloir éclairer ce brin d'herbe le soir.
A-t-il des yeux pour la lumière ?...
– Vous le parfumez la première !
Sent-il mieux qu'il ne peut voir ?...
Des richesses que Dieu nous donne,
Nous ne devons priver personne.
J'ai la clarté, vous la senteur ;
Eh bien ! prodiguons-les, ma sœur !
Sans demander, pour les répandre,
Si le brin d'herbe sait comprendre ! »* « Entrepreneur des bains du Cirque et de l'école de natation et auteur de charmantes poésies dont un petit nombre ont été réunies sous ce titre : Fables et Poésies diverses et forment un volume publié à Lille en 1860 » (A. Desrousseaux, Chansons et pasquilles lilloises)
source : gallica.bnf
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Par ahoui le 12 Août 2010 à 00:00
Photo à la con – Hommage anthume à Jean l'Anselme – Paris, 4.08.10
« S'il s'était présenté avec des vers soporifiques, il aurait à coup sûr endormi & la Beaumelle & Nonotte & Freron, & C... &c. &c.»*
François-Félix Nogaret, LE FOND DU SAC ou RESTANT DES BABIOLES DE M. X.***, Membre éveillé de l'Académie des Dormans, tome second, à Venise, chez Pantalon-Phébus, MDCCLXXX
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Par ahoui le 11 Août 2010 à 00:00
Photo à la con – Hommage anthume à Jean l'Anselme – Paris, 4.08.10
Il est presque treize heures à la montre de Claude Held. Cette précision l'honore.
Un bonheur de lecture : le feuilleton de Claude Held sur le site de l'Amourier. « On pose la pomme sur la tête d’un enfant. Puis on mange l’enfant.»
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Par ahoui le 10 Août 2010 à 00:00
Photo à la con – Hommage anthume à Jean l'Anselme – Paris, 4.08.10
Dan Bouchery dans ses bateaux verts.
Richelieu aussi portait des pompes cardinalices. C'était pas con pour marcher.
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Par ahoui le 9 Août 2010 à 00:00
Quelques esthètes se sont retrouvés il y a quelques jours pour rendre au poète Jean l'Anselme la paternité de Paris-Plage. On pourra en lire le compte rendu dans le Figaro littéraire du 5 août ou encore sur le site de la CONfrérie Jean l'Anselme. Les plus téméraires* visionneront le court métrage tourné à l'occasion par Jean-Luc Godard.
Ma mère me pensait au Mont Saint-Michel, aussi les photos à la con que j'ai tirées de l'événement resteront-elles anonymes. Je vous en mets pour la semaine. Non !!! Si.
Photo à la con – Hommage anthume à Jean l'Anselme – Paris, 4.08.10
Six pieds : la moitié d'un alexandrin.
Tiens, en voilà un qui passe :
Mais
Ah ! retire-toi !
Non, reste, Moabite.*** Ne dites pas que je ne vous ai pas mis en garde !
** Paul Déroulède, La Moabite, Acte II, Scène VI
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