Halte au massacre des baleines !...

blog intéressant.mais word press il faut un code et je ne pose pas de code.

.peux pas dire fini j'amais porté de soutif trop meurtrier de ma liberté ce truc.

D'autant qu'une baleine morte ne peut plus rien rendre.

(Mais qu'est-ce ? dirait Telos – Clic sur l'image pour en savoir plus)

Jamais non plus porté de soutif... mais par défaut.

Je ne connaissais pas le provola jusqu'à ce jour. Je découvre qu'il a servi de forme au wonderbra. Étonnant !

Je vois... Ce sont des baleines à bosses

« Cachalot que je ne saurais voir ! » (Molière, Tartuffe, acte III, scène IV)

Et la virgule ? bougre d'âne ! Elle compte pour du beurre ?

La virgule est souvent philosophique. Écoutez voir !

"Fini les baleines ! " écrit sans virgule est incompréhensible. Alors que " Fini, les baleines !" c'est bien suggérer que l' homme prédateur en a fini avec elles. Nous pouvons alors crier " Sauvons les baleines!". Il y a là, un vrai combat !

De même,  "Finies les baleines ! " sans virgule les condamnent à être dans cet état de mort annoncée. Par contre " Finies, les baleines !" engage les baleines dans la finitude évidente d'un destin tragique contre lequel l'humain ne peut rien. Et nous nous retrouvons sans baleines à l'horizon. Ce qui peut, je l'espère provoquer en nous devant ce fait insupportable un sursaut salvateur !

Comme quoi une virgule oubliée et la face du monde en est changée !

Quant à moi que cet écrit a fatigué, je m'en vais reposer ma tête entre deux doudounes

accueillantes sans sous-tifs ni baleines agressives.

Signé : Qui s'y frotte s'y pique !

et les haleines agressives, y'a rien de prévu ?

signé : causerie

utilisé en parfumerie???.oups!!. vite une loupe pour lire les " ingrédients " de mon parfum que mon " petit " corps incurgite à chaque "pschiit"..

bon je file trier mes photos, aujourd'hui je joue un peu trop les barbies!.

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Mini les phalènes qiui font bal, mais ça n'a rien à voir !

Sinon, tu me fais penser avec ton catalogue à des détournements habiles que j'avais pratiqués et que je dois avoir quelque part.

Je vais essayer de les retrouver et publier...

Merci de la part du petit Karouge illustré,(pas de code pour accéder au site, m. Telos), qui est assez bien dans l'idée des camemberts coulants comme le nez des enfants de Marie Harel, des bananes molles (Rock and rollmops), des dés à coudre (et des Dédé à recoudre après qu'ils aient vidés leurs dés), et merci aux peluches qui restent sur les verres et qu'il suffit de retourner quand il fait moche dehors et que tombe la neige, bref, merci à qui, ahoui, à vous, YB, de m'avoir donné cette envie un peu bête et forcément trop humaine, de communiquer avec l'élégance des no-bodies, des Pessoa, et des vivants (que j'espère plus charnus que plombés de vertus).

Merci, donc.

Antoine Karouge

(vue sur les Pyrénées, mais loin de l'escade de la plage des Dames de Noirmoutiers...)

On n'est pas au point pour la virgule !

Pour toi, j'ai le bain de bouche concentré Bucco, de fabrication française, à la page 67.

Pour toi, le pont d'évier : un rangement supplémentaire, page 31.

Ici, rien n'est détourné. Ce n'est pas moi qui ferait ça !

Et dire que je n'ai pas parlé du coupe-mangue avec poignées anti-dérapantes.

Je dis aussi "la poste en voiture jaune", afin de la différencier de la poste électronique.

Fini le Provola escrabouillé ! C'est assez : laisse tomber !