• Comme un faux air

    Faux air

    Bien qu'il souffrît d'hémorroïdes, Napoléon ne s'est jamais assis sur cette chaise. Primo, il usait de sangsues pour se soigner*; secundo, ce n'est pas une chaise, mais, vous l'aviez reconnue, la machine à disquer les pilules de toutes grosseurs d'Edmond Forgerais.**

     

     

    * On a promis de me communiquer un document d'époque.
    Je ne manquerai pas de vous tenir informé-e-s

    ** Source : BIU Santé

    « Mea culpaChoses retrouvées 1 »

  • Commentaires

    1
    Mardi 21 Juillet 2015 à 06:36

    Complément d'information : on murmure dans le peloton qu'avec les bénéfices engendrés par cette ingénieuse machine, Edmond serait allé passer trois semaines aux Seychelles pour se dorer la pilule...

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    2
    Mardi 21 Juillet 2015 à 09:04

    @Topa – Autrement dit, il s'était fait des gonades en métal précieux !

     

    3
    K
    Mardi 21 Juillet 2015 à 10:09

    Jamais condamné aux assises ?

    4
    Mardi 21 Juillet 2015 à 12:21

    dans la famille chaise il t a électrique aussi, une autre physionomie peu avenante.

    signé : si loue êtes ?

    5
    Mercredi 22 Juillet 2015 à 06:56

    D'où l'expression "se faire disquer la pilule"....

    6
    Mercredi 22 Juillet 2015 à 08:38

    @K – Je fais appel.

    @thé âche – Tu as pu lire dans État de chaises qu'on lange les condamnés pour qu'ils ne conchient pas la chaise.

    @Minik do – Pierre Perret définit ainsi la locution, dans Le Parler des métiers (Robert Laffont, 2002) :
    Disquer la pilule – Former une pilule. Il faut disquer les pilules, ce sont les dernières. Appelle la centrale, le stock est à sec !

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