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Comment je n'ai pas écrit
Comment je n'ai pas écrit certains de mes poèmes.
J'ai un ami poète... enfin, j'en ai plusieurs, mais celui-ci ne se sépare jamais du petit carnet où il transcrit – c'est pratique – la moindre de ses poétiques pensées. Des poétiques pensées, il m'en tombe quelquefois sur le râble, que je note sur les supports qui me tombent – ah oui, tout tombe – sous la main : tickets de caisse, marges de journal, dos d'enveloppe... L'exemplaire ci-contre a été oublié dans la poche d'un anorak défraîchi que je n'ai pas enfilé depuis l'hiver dernier. De mémoire, il aurait pu servir de quasi-poème de circonstance pour remercier de l'envoi d'un amical colis, avec ail rose, foie et magret de canard.
Pour n'avoir pas cassé trois pattes à un canard, on ne manquera pas de se réjouir qu'il soit tombé – qu'est-ce que je disais ! – dans l'oubli.
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Commentaires
heureusement que ça ne casserait pas trois pattes (même une) à un oiseau
signé : kikidi
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Vendredi 11 Décembre 2020 à 21:03
Laurent (blog La Flûte en os) m'a invité à lire Le Génie des oiseaux de Jennifer Ackerman (Poche Marabout). Si tu ne connais pas déjà, c'est un livre de chevet pour toi.
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Bonjour, je dois en avoir quelques-uns, voire quantité, de poèmes non aboutis aussi.
(Je suis plutôt carnets, à demeure dans ma sacoche et mon sac à dos).
Mais faut noter, sinon ça s'envole !
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Vendredi 11 Décembre 2020 à 21:15
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4rodgerVendredi 11 Décembre 2020 à 23:005yannickSamedi 12 Décembre 2020 à 07:37
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Il me semblait aussi qu'il y avait de l'ail dans le quasi !...
Ce matin, ce n'était pas quasi, mais mogettes – de Vendée – et, même avec l'ail dans l'eau de cuisson, la mogette reste égale à elle-même