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Par ahoui le 5 Mai 2019 à 00:00
Ses sujets crient Vive le roi, sur le passage de Parpaing Ier.
Autre roi, autres mœurs. Mais ici aussi, de crainte de se prendre un pavé sur la tronche, on se garde du crime de lèse-majesté.
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Par ahoui le 29 Avril 2019 à 09:13
Dessin à la con septième, version 3.0, 2019, craies Conté sur papier kraft, A4
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Par ahoui le 21 Avril 2019 à 00:00
Comme son nom l'indique.
Avec cette légende : « La chaise est le dernier maillon de la chaîne alimentaire.»
Je ne garantis pas qu'il y ait un message, ni même un sens, où alors il m'échappe.
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Par ahoui le 11 Avril 2019 à 00:00
Chat des voisins, lézard en gueule, sur les marches de l'atelier, 9 avril 19, acrylique sur papier kraft
Le titre du dessin décrit la scène dont j'ai été témoin ce mardi. J'ai renoncé à ajouter un soupçon de rouge, ne souhaitant pas souligner un effet dramatique. D'ailleurs, ce n'est un drame que pour la moitié des acteurs.
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Par ahoui le 7 Avril 2019 à 00:00
À les voir dociles dans le dictionnaire, on a peine à imaginer que les mots ont parfois joué des coudes pour éliminer des camarades plus faibles. Ainsi, pour nommer le dos, dorsum a éliminé tergum.
Notre modèle ne dira pas qu'il en a plein le tergum de tenir la pose. Et à l'heure de se rhabiller, il n'enfilera pas non plus son nichilaudos dont Furetière nous apprend qu'il s'agit d'un pourpoint, une veste riche par devant, & d'une moindre étoffe par derrière.
Un glossaire de l'œuvre de Rabelais est plus précis dans sa description du vêtement :
« Nichilaudos, vêtement dont les devants étoient fort riches, et dont le derrière, que devoient cacher d'autres habits, étoit d'étoffe très commune ; ainsi, nihil ad dorsum. Henri Estienne le nomme pourpoint de trois paroisses ; car, dit-il, le corps est de demye ostade; le hault des manches, de cuir; le bas de velours ; et, pourceque il ny en avoyt aulcunement a lendroict du dos, on appelloyt cette sorte de pourpoinct nihil au dos.»Nu (étude), non daté, plume et encre de Chine, A4
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Par ahoui le 5 Avril 2019 à 00:00
J'avais 17 ans. Dans l'atelier-théâtre, on montait L'Azote de René de Obaldia.
« Toucher aux pieds de l'armée, c'est toucher à sa tête, et toucher à sa tête, c'est toucher à son cœur, et toucher à son cœur, c'est... » À ce moment, Casimir, à court d'arguments, insultait Justine « Écossaise ! Sale petite Écossaise ! » Elle bredouillait « Casi... Casi... ».Je me souviens parfaitement de la réplique de Casimir, mais je ne devais pas tenir le rôle, car je n'aurais pas oublié que « brusquement Casimir embrasse Justine sur la bouche, puis la renverse sur le lit.».
Ça non, je ne l'aurais pas oublié.
Nu (étude), non daté, plume & encre de Chine sur papier, A4
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