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Dans le rétro : juillet
On imagine que j'ai une vie facile, mais quelle réponse un rien fine puis-je apporter à cette note percutante de Flora :
« D'habitude c'est la chaise qui est cannée !»
Surtout si, après avoir compris, je ris pendant un quart d'heure.
La réalité dépasse ma fiction : c'était le 10 juillet.
Titre retenu par le journal Le Maine libre pour sa réclame du 9 juillet 2009.
Nous rangerons la chaise dans la 7e catégorie, celle des armes de salon.
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Commentaires
1TopaLundi 28 Décembre 2009 à 08:02Est-ce que la chaise longue peut être considérée comme une arme à double détente ?...RépondreÀ lire vos commentaires, Topa et toi, je me dis que j'ai été inspiré de resservir le plat.Je préfère tes courses de chevaux et leur arrivée dans un fauteuil !Eh oui, mais je ne fais pas les courses tous les jours.Marrant que tu évoques Bernard Palissy... je pensais qu'avec la chaise longue de Topa, il aurait fait long feu.10FloraJeudi 7 Août 2014 à 18:21Depuis, le Barreau l'ayant condamné, il a mis fin à ses jours et repose au Père-Lachaise.11La Marguerite du préJeudi 7 Août 2014 à 18:21Y'avait-y un cousinage avec Bernard Palissy ? Quoique ... même si ça qu'a chauffer c'étions point pareil12Oncle paJeudi 7 Août 2014 à 18:21A table, qu'aurait-il fait ?
Une bouillie ?
Une soupe ?
un plat ?
Mais pour se faire : tuer ne suffit pas : il faut une recette : du sel de Guérande, du poivre d'espelette, un oignon de Montauban piqué de clous de girofle, une gousse d'aïl rose, de Lautrec.. un brin de cerfeuille, quelques lardons frits, une branche de céléri.. et laisser exprimer ces odeurs chaudes et parfumées, envahissantes..
Attendre au coin du feu, un verre de Gaillac rouge, un Brocol si fin et si volatile..
Et.. déguster ! Simplement passer sur la plage de la langue le velouté d'une viande cuite à point..
N'oubliez pas d'adjoindre une queue de boeuf qui donnera son moelleux aux senteurs d'un tel plat...
oncle plat
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