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De l'urgence du baiser
Couple enlacé. Légitime ?
Rien n'est moins sûr.Porte & baiser dérobés.
De l'urgence du baiser, 1998, acrylique et pigments sur papier glacé, 34 x 32 cm
« Le baiser dérobé, le baiser donné en cachette, rapide et brûlant, furtif et passionné, c'est peut-être le meilleur, c'est à coup sûr le plus savoureux et le plus irritant.
Les baisers dérobés sont les tentantes prémices du fruit défendu.»(Pol de Saint-Merry, L'amour et les baisers, 1901)
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Commentaires
2yannickLundi 30 Mars 2020 à 09:02Ça a l'air dérobé des deux cotés ... enrobé ?
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Lundi 30 Mars 2020 à 22:40
Un ami (tu le reconnaîtras) a fait appel au mythe de Gilgamesh et Enkidou.
Je te livre comment sa pensée a flotté comme une abeille ivre au-dessus de l'image :
« Les jeux de pieds mêlés qui forment un triangle et un rectangle ou losange, quatre pieds de chaise ?
Les éléments d'une maison, toit et rectangle.
Je ne sais pourquoi ces figures énigmatiques m'enchantent par leur simplicité qui traverse le temps... je retrouve ça dans les contes.
Dans ta peinture, les pieds des corps dessinent un triangle et en fond un rectangle, une porte ? »
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7RodgerMardi 31 Mars 2020 à 20:39
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Un baiser dérobé ! Votre compte est bon, mon gaillard... D'autant plus que vous n'avez pas d'autorisation de sortie dérogatoire...
J'entendais ce matin dans le petit poste, un quidam tenter de justifier son infraction par un irrépressible besoin de sexe.