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Décidément
– Et le radis aussi est victime du syndrome de la fraise à long nez ?
– Non, lui, il se serre la ceinture parce qu'il est sans un.
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Commentaires
2paul(A)Vendredi 5 Juin 2015 à 06:29Mes aïeux quel radis !
ce radis symbolique
a de quoi ouvrir les portes du paradis *
cela mérite un panégyrique
* ainsi chantait Legrand Georges , poète sans le sou
3paul(A)Vendredi 5 Juin 2015 à 06:304FloraVendredi 5 Juin 2015 à 06:35Les radis, les ronds, les pépettes, l'oseille,
S'en allaient tous à la foire de Sanzun
(Qui continue ?)
après l'art blystérieux, le jardinage symbolique, l'école de Saint Symphorien est fort prolixe. va t elle continuer à envahir tout le chant champ (?) culturel ?
signé : en prendre de la graine
9Alain P***Vendredi 5 Juin 2015 à 11:39(* P. car je souhaite garder l'anonymat !)
Ce légume ne m'est pas inconnu : c'est le radis de Monte Carlo.
10MartineVendredi 5 Juin 2015 à 14:06@Yannick – Et je n'ai pas montré les petites fesses des pommes !
@paul(A) – Un autre chanterait que sa taille est plus fine que la retraite des vieux.
@Flora – Jeu de mots à tiroirs !
@Topa – Un temps, j'ai envisagé choisir cet angle tchernobylien...
@Lily – Sanzun ? Dans la Manche ?
@K – À l'heure où j'écris, ce radis n'irradie plus.
@thé âche – Tant qu'il ne fait pas trop sec.
@Alain P*** – Oui, mais après une sortie de route.
@Martine – À croquer quoi !
@Minik do – Faute d'être resté lui-même.
Le partage du radis lui-même va pouvoir se faire aisément équitablement, mais qui va garder les fanes ?
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Bizarre comme ta poésie influe sur les formes des êtres de ton jardin.
Comment faire pour que ça joue aussi sur l'esprit humain ?