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Démonstration par A + B
Soit deux personnages. L'un est abbé – pour préserver sa vie privée, taisons son nom –, l'autre Béatrice, ses ami-e-s l'appellent Béa – nous aussi.
Si l'abbé mate, nous déduisons que Béa est dans son champ de vision. Si elle ne nous apparaît pas, nous écarterons les hypothèses suivantes :
1 – qu'on nous aurait menti – on n'est pas si pervers ;
2 – que le dessinateur est un foutu paresseux – ce n'est pas le cas ;
3 – que faute d'une foi sincère on ne risque pas d'être sujet à vision ;pour retenir que les larges épaules de l'abbé sont propres à masquer une frêle jeune femme.
Quant à l'affirmation de béatitude de l'abbé, rappelons qu'elle répond à l'axiome de Saint Bieco : « L'abbé Béat, un point c'est tout.»
Nous en concluons que notre démonstration par A + B a toutes les chances d'être révélée et qu'il n'y a aucun motif valable à rejeter l'affirmation donnée à priori : L'abbé béat mate Béa.
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Commentaires
Et en sus le conciliabule...ou la concupiscence via la béatitude pousse l'abbé vers une rude vicissitude.
Signé : " Sœur Béatrice de la béatitude et plus si affinité."
Je subodore une suite, genre coup de théâtre...
En attendant, j'm'en vas chercher du riz au G 20 : ils ont reçu récemment du "B@Rice", qu'on nous conseille de cuire "al Dante"...
Ah non ! Rideau.
Même que si je n'avais pas annoncé cette Démonstration, j'avais à mettre en ligne un menu du 15 janvier 1972 avec, entre terrine et sanglier grand veneur, une préparation de homard d'une affligeante actualité.
17paul(A)Jeudi 7 Août 2014 à 17:30j'enfoncerai le clou, en citant une publication des années 60 faisant état de l'axiome des quatre saints Beat :
" Béat est l'abbé les soirs où l'abbé rode "...
18FloraJeudi 7 Août 2014 à 17:30
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L'abbé béat mate Béatrice, sa braguette bée, sa trique bat.