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Des Pyrénées orientales
L'enveloppe et déjà, on commence à rêver.
Un chemin des poètes. Si haut. C'est trop !
Comme aurait écrit Verlaine, le jour où il avait laissé tomber son dictionnaire de poche depuis cette passerelle, « je voillage vertigineusement ».
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Commentaires
orientales en plus c'est la voyage assuré (trip) sinon je souscris entièrement à l'assertion de Topa !
signé : C P à l'envers
À cette altitude et dans cette étroitesse, on comprend mieux pourquoi les poètes peinent à croiser leur public.
6martineJeudi 31 Décembre 2015 à 15:21Avec le vertige ....j'aurai du mal à lire des poèmes aussi haut (s)........bisous en ce dernier jour de l'année
@thé âche – Souscris, ça peut rapporter gros.
@photodilettante – Tu ne seras pas surprise que je te souhaite de réussir dans tes projets.
@Henri – Si j'étais poète, mon premier souhait serait de ne croiser personne sur ce sentier.
@martine – Je renonce également aux poèmes de haute volée et de haute tenue.
8VougeotSamedi 2 Janvier 2016 à 13:51Je choisis le Chemin des poètes de Durcet, au moins c'est plat. Je parle du Chemin. Mais il arrive qu'un poète soit escarpé. Parfois.
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Au premier plan du Canigou (deuxième photo), on reconnaît les orgues d'Ille-sur-Têt, très spectaculaires.
Très silencieuses aussi car l'organiste est, comme Verlaine, sujet au vertige...
Quant au "chemin des poètes", l'appellation est incontrôlée...
Manquerait plus qu'on contrôlât les poètes !