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Désarmant
Chien tendu, 2015, acrylique, encre, craies et fusain sur papiers, 20 x 30 cm
Quand, dans L'homme idéal ou presque, Kristan Higgins écrit : « Colonel n'a jamais eu besoin de laisse ; il se contente de me suivre partout avec un dévouement désarmant », on peut raisonnablement penser que Colonel n'est pas un militaire gradé, au risque d'être convoqué devant le conseil de discipline pour comportement subversif.
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Commentaires
@Cristophe – Superbe rebond. Néry a-t-il lu l'œuvre complet de Kristan Higgins dans la collection Harlequin ?
@Topa – ... ou le siffler.
@Laurent – Il arrive même que ça morde.
6VougeotVendredi 9 Octobre 2015 à 13:347yannickVendredi 9 Octobre 2015 à 16:09La bête du Gévaudan ( j'ai cru que c'était elle sur ton tableau- frissons ) avait aussi la laisse en horreur !
"Les chiens n'ont qu'un défaut, ils croient aux hommes." a écrit E-J Finbert. Quant aux colonels ...
@thé âche – Je vois qu'on n'a pas besoin d'avoir servi sous les drapeaux pour en connaître les usages.
@Vougeot – Bel exercice de synthèse.
@yannick – La Vie mancelle & sarthoise dans son dernier numéro relate les méfaits d'une bête de la Faigne dans le Belinois.
@Lily – Je ne veux gâcher ta journée, mais pour renforcer ton propos, relire l'extrait des Lettres d'un chien errant sur la protection des animaux sur cette page.
@photodilettante – Ne lui prêtons pas le talent d'un kangourou.
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Rebond "obilgé" :
https://youtu.be/COccxj7xoB4