• En 2 lettres

    Par ahoui dans toiles & papiers le 13 Juin 2008 à 00:00
    à une doctorante en histoire qui intervient à Nancy,
    les 12 et 13 juin, aux journées d'étude sur
    la Rééducation des filles aux XIXe & XXe siècles*
    Cheval cruciverbiste
    – En deux lettres : Ne voulait pourtant pas être vache avec son amant.*


    * Calenda, calendrier des sciences sociales
    ** Définition de Michel Laclos (recueils de mots croisés chez Zulma)
    « Ma quêtePégase dans le coin »

  • Commentaires

    1
    Henri
    Vendredi 13 Juin 2008 à 07:20
    Je ne vois pas...
    Ma foi (de génisse), tant pis! 
    Répondre
    2
    Topa
    Vendredi 13 Juin 2008 à 07:52
    Phonétiquement, ce doit être aussi une sorte de ponctuation dans le domaine du rap...

    (+ perso : bises à la doctorante)
    Répondre
    3
    Yves Barré
    Vendredi 13 Juin 2008 à 09:24
    Une autre définition pour te mettre sur la voie (lactée) :
    Ce n'est pourtant pas elle qui aurait dû porter des cornes.
    de Michel Laclos toujours.
    Répondre
    4
    Yves Barré
    Vendredi 13 Juin 2008 à 09:25
    Yeah ! (ponctuation dans le domaine du rock)
    Répondre
    5
    Topa
    Vendredi 13 Juin 2008 à 10:12
    A quoi bon résister ? Eugène (Guillevic) s'impose :

    Je suis vache,
    disait la génisse,
    un peu vache.

             Guillevic, Echos, disait-il, Gallimard.
    Répondre
    6
    Liza
    Vendredi 13 Juin 2008 à 13:38
    Ah ! la vache! Elle, sûr elle a été rééduquée en "cruci-vert-biste " !
    LIZAGRECE
    Répondre
    7
    anita
    Vendredi 13 Juin 2008 à 17:48
    Elle est restée le satellite d'un muffle... Est-ce que c'est pis?
    Répondre
    8
    Yves Barré
    Vendredi 13 Juin 2008 à 20:51
    The right poem in the right place.

    Répondre
    9
    Yves Barré
    Vendredi 13 Juin 2008 à 20:54
    la vache
    ne se consolera pas

    de la qualité de la luzerne

    entassée
    dans son derrière

    Aaron Shabtaï, Première lecture, traduit de l'hébreu par M. Eckhard-Elial, éditions de l'éclat.
    Répondre
    10
    Yves Barré
    Vendredi 13 Juin 2008 à 20:55
    C'est l'odeur du sabot qui t'a mis la puce à l'oreille ?
    Répondre
    11
    Yves Barré
    Vendredi 13 Juin 2008 à 20:57
    Pis-aller ?

    Répondre
    12
    Jean Féron
    Vendredi 13 Juin 2008 à 23:21
    Broutille : Io ?
    Bonsoir Yves, j'entre parfois dans ton champ. Toujours avec plaisir.
    Répondre
    13
    Yves Barré
    Samedi 14 Juin 2008 à 09:21
    Sais-tu que j'ai pensé à toi en écrivant l'article ? Plus précisément à ton poème Pégase de La hulotte n'a pas d'culotte. Je m'aperçois d'ailleurs qu'il ne figure pas dans la réédition de l'idée bleue... J'ai toujours deux plumes de geai pour ton plaisir...

    Répondre
    14
    Tiphaine
    Samedi 14 Juin 2008 à 14:23
    Et dire que je suis tellement loin de Nancy que je ne saurai peut-être jamais si brodeuse, blanchisseuse, coiffeuse ou dactylo...
    Yo man...

    Répondre
    15
    Yves Barré
    Samedi 14 Juin 2008 à 16:11
    En fin de conte, comment se défiler.

    Répondre
    16
    Cecile
    Samedi 14 Juin 2008 à 21:13
    Io ...
    Répondre
    17
    Yves Barré
    Dimanche 15 Juin 2008 à 00:16
    Tu as le commentaire bref, ce soir !
    Répondre
    18
    André
    Jeudi 7 Août 2014 à 18:40
    Je vois que le "cheval" qui cruciverbise autour d'une vache en perd sa mule !
    Répondre
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