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En passant par la Lorraine
Poème du dimanche 26 mai
complété d'une note postliminaire
et d'une illustration inconsistante
Elle est meurte Moselle...
– Nan ?
– Si !
Ça ? Un poème ? Est-on sûr qu''un autre ou lui-même
ne l'a pas déjà écrit ? Nan !
Gageons néanmoins que ça lui aurait plu, à Jean.
mai 2013
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Commentaires
C'est tout à fait lui.
Il y a dix ans, à Durcet, lors de la remise des prix Jacques Bertin et Claude Ribouillault :
Relire le billet du 13 avril 2007.
la foto induit un rapprochement avec les sacs poubelles, qu'y met-on ? les jeux de mots pourris ou les poèmes dérangeants ?
signé : d'oubli t'as tifs ?
J'te crois. Petits esprits ? Tu n'irais pas jusqu'à moyens ?
(J'attends la prochaine Rumination. Je viens de lire les derniers I.D. J'avais du retard. Et ça m'a entraîné dans les profondeurs du site...)
Étonnant ce que tu écris. En plus de Jean l'Anselme, je pensais également à Jean-Pierre Verheggen et Alain Helissen et leur Metz in Japan.
Je prends note, et si je connais certes Verhegen, c'est ici pure coïncidence, c'est sûrement mon côté bobby qui pointe ;-)
14VougeotJeudi 7 Août 2014 à 17:37Sûr que ça lui aurait plu (d'ailleurs il pleut pas mal, comme tu l'as toi-même remarqué).
Alors, depuis qu'il est mort, notre Jean (L'Anselme, tu crois que tout le monde comprend) est-ce qu'on rit encore en poésie ? Plus du tout ? Un peu quand même ? (bifffez la mention inutile). Et ce sera l'objet sans doute de ma prochaine Rumination.
Si! J'te jure ... (Les petits esprits se rencontrent, comme tu vois)
15VougeotJeudi 7 Août 2014 à 17:37c'est quand même pénible que l'heure de rédaction soit indiquée sur nos commentaires. Tout le monde (oui, quatre personnes !) va croire que je me lève tard...
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Jean l'Anselme (si c'est bien de lui qu'il s'agit...) prenait un malin plaisir à "récupérer" (recycler ?) des jeux de mollets (salut Boby !) entendus ici ou là ou pieusement récupérés dans des livrets militaires ou des lettres d'assurés sociaux...
On se souvient de la conclusion de son poème affiché sur la balise 12 à Durcet :
"C'est-y toi ou ben ton frère qu'est mort à la guerre ?..."