• Épicocasse

    Par ahoui dans les tout faits le 31 Juillet 2009 à 00:00
    À Maïette qui a déniché ce trésor.
    Dominus Vide-greniers toujours.
    En 12 pages et neuf chants, un très curieux Poème épicocasse de Dominus, illustré par Z. Brunner : Les grenouilles qui demandent un roi.

    Du chant troisième. Extrait :
    Sur la bannière,
    Grenouillère,
    La fleur blanche s'y fit lys.
    Leurs devises armoriales
    Sont royales ;
    C'est « Pour mon Pieu et pour mon Droit !»
    Ou bien : « Une Fois ! Une Joie ! Un Doigt !»
    Ou bien encore : « Fais-ce ! Que ! Dois !»

    Dominus a croisé le chemin de Gaston Couté avec qui il a fondé en 1907, en compagnie de Dumestre, le cabaret "La truie qui file".


    Message personnel
    – Comme ça, tu habites à Carentan ? Eh bien, bon anniversaire !
    « Petite annonceBout de planche de peuplier »

  • Commentaires

    1
    Topa
    Vendredi 31 Juillet 2009 à 08:39
    C'est, en effet, un "trésor" !
    Recherche rapide ce matin : proposé à 57 euros chez Priceminister, à 46 chez Abebooks, sans compter les frais d'envoi.

    Epicocasse ? Songer à une réédition chez l'épi de seigle ?...
    Répondre
    2
    Cécile
    Vendredi 31 Juillet 2009 à 09:03

    Le dicton du jour :
    la Grenouille souvent inspire le Poète

    Répondre
    3
    eleonor
    Vendredi 31 Juillet 2009 à 09:27
    je ne comprends pas tout mais c'est drôle merci pour ce sourire que je t'offre!
    Répondre
    4
    Yves
    Vendredi 31 Juillet 2009 à 09:54
    Gérard Boutet cite André Sauger dans le Journal de la Sologne : " Les grenouilles de bénitier fêtardes veulent bien écouter des plaisanteries égrillardes, mais elles ne prisent guère ce genre de propos et encore moins ceux qui, comme Gaston Couté, mettent leur plume au service de la vérité et de la liberté de l'esprit. Ils n'aiment point, ceux-là, qu'un poète se permette de confesser les joies et les douleurs de la multitude."

    Épargnons cette Batrachomachie à l'épi de seigle !

    source : gastoncoute.free.fr


    Répondre
    5
    Yves
    Vendredi 31 Juillet 2009 à 09:58
    J'ai hésité également sur batrachomachie. Je retiens "i".
    Et je fais comme toi, je mets une galette de Gérard Pierron dans le mange-cd.

    Répondre
    6
    Yves
    Vendredi 31 Juillet 2009 à 10:00
    Depuis Phèdre.
    Répondre
    7
    Yves
    Vendredi 31 Juillet 2009 à 10:09
    Rassure-toi... Moi non plus, je ne comprends pas tout.
    Si tu ne connais pas Gaston Couté, il mérite vraiment qu'on ne l'oublie pas.
    Un site pour le découvrir : http://gastoncoute.free.fr (fonctionne mieux avec Internet explorer !)
    Répondre
    8
    Martine
    Vendredi 31 Juillet 2009 à 13:00
    Ne pas oublier Gaston Couté ! C'est une des nombreuses raisons pour laquelle je viens chez toi chaque jour.
    Et pour le sourire avec lequel je repars toujours, ou presque...
    Répondre
    9
    Yves
    Vendredi 31 Juillet 2009 à 21:54
    Alors, on se voit demain !
    Répondre
    10
    Cristophe
    Samedi 1er Août 2009 à 11:18
    Je ne connaissais pas ce Dominus mais s'il a oeuvré avec Gaston Couté, c'est déjà un bon signe !
    Répondre
    11
    Yves
    Dimanche 2 Août 2009 à 10:08
    J'en découvrais l'existence également.
    Répondre
    12
    meerkat
    Jeudi 7 Août 2014 à 18:26
    Un billet batrachomach(i?)e qui met en joie pour la journée. Du coup, je m'en vais prendre l'air avec le gâs qu'a mal tourné au cabaret de la Truie qui file.
    Répondre
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