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Étang donné
Je me fais un sang d'encre pour mon quotidien régional préféré qui se relâche ces temps-ci.
– Pas de quoi rire ! me confie l'abbé de Marre qui aurait pu changer sa robe pour celle de l'avocat. Apprécions, de l'abbé, ce couplet donné au bal de l'Opéra, à Mlle ***, princesse de sang
Si j'ai pû vous inquiéter,
Pardonnés mon audace,
Je me flatte de mériter
Que vous me fassiez grace ;
Mon crime fût-il des plus grands,
Mon repentir l'efface ;
Et l'hommage que je vous rends
Me remet à ma place.* Ouest-France, édition Le Mans, 11.09.12
Œuvres diverses de M. l'abbé de la Marre, Paris, 1763 (orthographe d'origine)
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Commentaires
pour vendre il doit s'adapter à ses lecteurs.ah ah!!!
je pars marcher seule tu me fiches la trouille..je vais marcher avec mon portefeuille au bout de mon bâton pour éviter qu'ils me fouillent..
Si j'écarte la réponse du témoin qui ne serait pas en mesure de dire s'il y avait ou non des poissons dans la mare, je retiens que s'il y avait des poissons, tu peux les avoir vus ou non et que s'il n'y en avait pas, tu es certaine de ne rien voir. Néanmoins, le doute subsistera dans ton esprit, puisque tu ignores encore s'il y avait ou non des poissons. Tu me suis ?
Ce midi, j'ai pris du poulet à la cantine.
Un peu de temps s'est écoulé après la lecture du fait divers sordide. La phrase, sortie du contexte, prend une voie plus détachée.
16MartineJeudi 7 Août 2014 à 17:4517MartineJeudi 7 Août 2014 à 17:4518lizagrèceJeudi 7 Août 2014 à 17:45
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Le fait divers qui ne divertit plus réussit encore à nous faire sourire.