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Histoire vraie
Pour une belle baffle, ça a été une belle baffle.
Retour sur l'épisode précédent (billet du 19 juin).
Éblouis par ce merveilleux élan libre des oiseaux, Michel et moi n'avons pas pensé une seconde qu'il pouvait s'agir d'une réminiscence. Or, à peine le lendemain avait-il commencé sa journée, que nous pouvions lire sur le badge porté par un ami : Le poème c'est l'élan libre des oiseaux. Signé Alain Boudet.
Moralité : S'il est louable de reconnaître une authentique expression poétique, il serait judicieux de faire appel à détective pour s'assurer de sa paternité.
Illustration : un des piliers peints du centre commercial de la place du Mail, à Allonnes – Ça vaut bien une photo (Topa)
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Commentaires
2MartineDimanche 21 Juin 2015 à 11:08Pour moi l'enfant qui en a fait sien avait sans doute compris....ressenti......qu'il pouvait faire sien ce poème .....
un tour de passe-passe involontaire où l'enfant s'est transformé en "passeur
- il pensait que vous attendiez une définition
ou bien il a frisé le délit d'initié :
- il est de la famille d'Alain Boudet
-son père ou sa mère ou les deux fabriquent les badges
voilà quelques hypothèses ... d'école .
6ylefeuvre@gmail.comLundi 22 Juin 2015 à 05:39@tous - Il y a une belle imprégnation poétique initiée par l'enseignant (dans son carnet de poésie personnel, chaque élève peut noter les poèmes qu'il écrit et ceux de poètes qu'il apprécie).
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il est des mots comme ça qui passent vite dans le patrimoine commun. c'est plutôt bon signe dans ce cas là. et ça montre que l'agitation poétique porte ses fruits.
signé : un piaf