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Jardin extraordinaire
à M. & P.
De nos ami-e-s, on devrait parfois se méfier, tant ils/elles poussent des portes étroites, écartent des haies vives, ouvrent des sentes oubliées sur des jardins tus, mais qui nous tiendrait à l'abri de trop de soleil, trop de vents, trop de gels, trop de pluies, trop de neiges...
Pascal Juhel, Carrés de jardins, 2014, linogravure et encre, 20 x 20 cm
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Commentaires
2YannickSamedi 24 Janvier 2015 à 07:41Nous savons maintenant que celui ou celle qui tient dans sa main pinceau, crayon, stylo... est un être qui se met non seulement en danger mais devient dangereux pour celles et ceux qui l'entourent. En conséquence pour le bien de toutes et de tous ces instruments seront bannis comme le furent les fuseaux à une autre époque.
on retrouve des jardins similaires dans la série : "carrés de jardins" sur péjitégé (pjtg.over-blog.com)
signé : de la pub pour mon pot
Toujours étonnant ce qu'on voit par la fenêtre et qui donne irrésistiblement envie d'y aller !
7MartineSamedi 24 Janvier 2015 à 23:19@Topa – Pour le soin apporté à la réalisation, sans doute.
@Yannick – C'est plutôt pour le trop plein d'émotions qu'ils/elles te donnent qu'il faut s'en méfier.
@photodilettante – Sa cote va monter.
@thé âche – J'ai manqué de temps pour les retrouver sur le PJTG.
@Lily – Un jardin, croîs-tu ?
@K – Je n'y vois pas de fenêtre, mais ça pourrait en être une.
@Martine – Sème des cailloux pour le retour... et que ta poule – qui compte – ne les avale pas.
@Minik do – ... et là, le commentaire d'un esthète.
@Cristophe – Sois entendu, au moins pour élargir le cercle d'admirateurs.
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Jardins ouvriers sans doute...