Là, c'est trop ! J'arrive !

Le papotier

dans l'herbe..je te suis...lol!!!

Bon à savoir pour épater les ami(e)s :

on doit à Nicolas-Jacques Conté l'invention du crayon à papier et du crayon de couleur avec mine de graphite et bois de cèdre...

Il a aussi "bricolé" dans la chimie, perdu l'oeil gauche en chatouillant un mélange à base d'hydrogène et bien fait avancer la technique de l'aérostat.

C'est quasiment un voisin puisqu'il est né tout près de Sées (Orne).

En art, l'expérience précède la science...

(Merci pour le lien fait hier avec les carottes.)

Génial !!!

Qui d'autres nous rejoint ?

Le papotier qui prépare déjà un pique-nique !

le portrait d'une couchette en somme. par ailleurs les conté ont bien évolué.

signé : un naturaliste du dimanche

C'est l'herbe rouge de Boris ?

Ou couchette pour un somme.

Las ! Je n'y suis pas.

Pas aux aurores...

Tu ne t'en laisses pas Conté !

En art, on évitera surtout de se mélanger les crayons.

Un Déjeuner sur l'herbe ?

Je relis l'Automne à Pékin. L'Herbe rouge, ce sera pour plus tard.

Hors sujet ? C'est juste que tu en connais un crayon !

Ou décoiffé après le pas-sage de l'amante ?

Dans une longue nouvelle, néanmoins court texte, Vassili Grossman nous décrit les incoyables angoisses que suscite l'isolement d'une "Russie" violemment devenue bolchévique dans un peuple sévèrement secoué. Un ingénieur, d'origine "asiatique", indienne et communiste de fait, doit, au nom de l'imbécilité stalinienne, trouver la même qualité d'écriture que le graphite d'exportation autorisait. Tout son combat, au compte de l'émancipation des travailleurs qui - tout le monde le sait - ne sera que l'oeuvre des travailleurs eux-mêmes, rencontre l'incroyable imbécilité des bureuacrates, les apparatchikii convaincus qu'un crayon peut se passer de la douceur ou de la dureté du graphite.. indien.

Hors sujet ? Evidemment.

Oncle pa