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Le grand combat
St-Symphorien – septembre 2014
Le grand combat. Toutes couchées. Seule debout.
Le grand combat est le titre d'un poème d'Henri Michaux. En voici un autre, tiré de Face aux verrous (Gallimard, 1967) :
« Si toutes les vaches fonçaient sur les camions, il y aurait un recul des camionneurs, des ouvriers des abattoirs, et pendant quelque temps, des mangeurs de viande. Mais qu'elles ne s'y trompent pas, l'humanité n'est pas prête à lâcher le bifteck et le lait de ses enfants, pour une simple affaire d'humeur.»
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Commentaires
et s'il n'en reste qu'une je serais celle-là, y'a des rebelles partout, et c'est tant mieux !
signé : un mohican
4martineMercredi 17 Septembre 2014 à 11:00c'est comme "le poussin noir" de Rascal.....elle essaie de faire accepter sa différence.....
@Lily – Je me demande ce qu'elle ruminent.
@Topa – Avenir dans les taches : encromancie ?
@thé âche – À la fin, elle fait quand même profil bas.
@martine – Ou comme dans le conte d'Andersen, elle nous fait cygne.
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La couleur de sa robe. Une Blake and white. Différente, c'est pour ça qu'elle est debout et fixe le photographe quand toutes les autres regardent à gauche et à droite en ne pensant qu'à leur panse.