• Lorsque l'enfant paraît

    Jeune couple etc Aujourd'hui (vendredi), j'ai peint la Maison 170. Grande sœur de la Maison 062 présentée jeudi. Le soleil étant resté discret, je n'ai pas pu disposer de l'indispensable lumière rasante pour la photographier.
    Aussi pour patienter, voici le portrait à l'encre sympathique d'un jeune couple de Chine.


    *
    Lorsque l'enfant paraît, le cercle de famille
    Applaudit à grands cris.
    (Victor Hugo, Les Feuilles d'automne)


    « Lumière rasanteExclusivité »

  • Commentaires

    1
    Samedi 13 Décembre 2008 à 08:43
    Tu construiras la maison autour d'eux ... mais surtout avec de grandes portes et de grandes fenêtres ouvertes pour que tout le monde puisse voir et écouter l'enfant grandir
    2
    Samedi 13 Décembre 2008 à 10:29
    En breton, on ne dit pas faire un livre, on dit"elever un livre".
    Qu'ils ne la nourrissent pas trop! Rien n'est plus offensant qu'une poésie repue...
    3
    Samedi 13 Décembre 2008 à 11:54
    La maison d'abord. La prison à douze ans !
    4
    Samedi 13 Décembre 2008 à 11:54
    Voilà une image qui mériterait bien de figurer dans un Petit supplément illustré à l'usage des poètes & et des contemplateurs de lacs qui relèvent d'un geste machinal le col de leur redingote quand le zéphyr passe et frémit d'un bulletin interne de liaison d'une association où y'a justement des poètes comme t'as dit...
    (- C'est pas clair, me souffle-t-on. - Tant pis, que je réponds.)

    Petite note de bas de page pour les observateurs attentifs : voyez comme la nature est bien faite : Anne Onim oublie un "s" à message... aussitôt la Marguerite, en bonne camarade en met trois à naissant et ça fait l'équilibre ! ...
    5
    Samedi 13 Décembre 2008 à 11:57
    Je n'entendais point subliminer.
    6
    Samedi 13 Décembre 2008 à 12:07
    Car tant qu'elle reste légère, la poésie m'amuse.
    7
    Samedi 13 Décembre 2008 à 12:08
    C'est bien connu : faudrait pas que ça grandisse !
    8
    Samedi 13 Décembre 2008 à 12:13
    Tiens, un message subliminal !
    Rien ne se perd, rien ne se crée ! Les s non plus.
    Demain, sur ce blog, un dessin auquel vous avez échappé dans le Petit supplément illustré à l'usage des poètes & des contemplateurs de lacs qui relèvent d'un geste machinal le col de leur redingote quand le zéphyr passe et frémit.

    9
    Samedi 13 Décembre 2008 à 13:18
    C'ets un faire-part ?
    LIZAGRECE
    10
    Samedi 13 Décembre 2008 à 18:07
    Ça pourrait annoncer la sortie de l'excellente revue Équisol.
    11
    Samedi 13 Décembre 2008 à 20:50
    Réponse de moi : le bébé poèsie n'ira jamais en prison !
    12
    Samedi 13 Décembre 2008 à 23:12
    je cherche un poème ou texte de théâtre célèbre dans tous les blogs de la catégorie poésie,qui exprime la souffrance que l'on ressent quand la personne que l'on aime est loin. Pas quelque chose de "gnan gnan" mais avec des mots assez violents, forts, qui expriment le déchirement, la "décomposition intérieure" que l'on peut ressentir par manque de l'autre. Merci
    13
    Dimanche 14 Décembre 2008 à 21:58
    Je n'ai pas en mémoire. Réponse en souffrance.

    14
    Dimanche 14 Décembre 2008 à 22:05
    C'est vrai, même qu'on emprisonne le poète, ses mots passent les murs.
    15
    Dimanche 14 Décembre 2008 à 23:00

    Merci d'avoir pris le temps de me répondre.Si une idée de texte te revient, n'hésite pas.

    16
    Anne Onim
    Jeudi 7 Août 2014 à 18:34
    Un couple vers-libriste avec une 'tite Pouaisie qui veut vivre...n'est-ce pas là un mesage subliminal contre l'IVG?
    17
    La Marguerite du pré
    Jeudi 7 Août 2014 à 18:34
    Et dire que ça s'pâment d'vant l'queniau naisssant et qu'plus tard y vont te l'traiter d'chenapan en lui courant après avec l'martinet.
    Savent point c'qu'y veulent...
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