• Minimaliste

    Poésie illustrée – On le dirait pas ! – suivie d'une note apocryphe de Claude Vercey.

     

     

    Sillé-le-Guillaume - novembre 2011

     

     

    Sans titre

     

    Sans poème

    non plus.

     

     


    « Notons qu'avec si peu, l'auteur va à la ligne, ce qui suffit à justifier à ses yeux qu'il y a là, poème.» (Claude Vercey)
     

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  • Commentaires

    1
    Vendredi 24 Janvier 2014 à 05:51

    L'écrit malgré le vouloir dire impose une liberté insolente. Peut être cherchons-nous

    à approcher cette dimension là ?

    Signé : " Peut être ! "

    2
    Vendredi 24 Janvier 2014 à 06:23

    j'en ai imprimé une presque semblable hier sur du canson . mes papiers à écrire.

    j'adore ce minimalisme

    3
    Vendredi 24 Janvier 2014 à 07:38

    Une liste de commissions pourrait donc flirter avec le poème ?...

    4
    Vendredi 24 Janvier 2014 à 09:29

    AH la vache il a foutu l'camp : dixit Raymond Queneau.

    signé : sans rime ni raison.

    5
    Vendredi 24 Janvier 2014 à 10:30

    En toute humilité. Déjà, rien qu'à lire la phrase précédente, on sent bien qu'y a pas un pet de sincérité, je gagnerais à écrire en toute humidité. D'ailleurs, je ne vais pas me gêner :

    En toute humidité
    j'ai plus un poil de sec.

    Faut-il ajouter Comprenne qui voudra ? Non ! Alors je n'ajoute rien.

    6
    Vendredi 24 Janvier 2014 à 10:31

    Pour la photo : l'appareil déclenché tombe au bout de sa dragonne.

    7
    Vendredi 24 Janvier 2014 à 10:32

    Et ce n'est même pas une page blanche !

    8
    Vendredi 24 Janvier 2014 à 10:39

    Ah, mais tout à fait.

    (Tu nous donnerais bien à lire Commissions des Petits cailloux pour Gita, un jour prochain.)

    9
    Vendredi 24 Janvier 2014 à 11:10

    Voilà le poète à la ligne,
    voilà au bout les vers sentant leur mort prochaine
    voilà le poisson qui garde la ligne
    et voilà sur sa chaise Prosper qui se désole...

    10
    Vendredi 24 Janvier 2014 à 11:13

    Allo docteur, la Noiraude à l'appareil...*

     

    * Jean-Louis Fournier

    11
    Vendredi 24 Janvier 2014 à 11:14

    Hé ! Ce n'est pas rien !

    12
    Vendredi 24 Janvier 2014 à 18:13

    Sans commentaire.

    13
    Vendredi 24 Janvier 2014 à 18:18

    Ni réponse.

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    14
    Dimanche 26 Janvier 2014 à 11:28

    Ah ça oui !

    Tant que t'as la couleur, tu peux pas couper !

    15
    Flora
    Jeudi 7 Août 2014 à 17:29

    Quelle drôle de question !

    Si le poète va à la ligne, c'est qu'il court à la pêche aux "gros" mots et pas aux vers!

     

    16
    Claude Vercey
    Jeudi 7 Août 2014 à 17:29

    Puisque la citation est apocryphe, il est évident que la citation n'est pas de moi. mais ça va mieux en le disant. je pense en fait exactement le contraire : croire qu'il suffit d'aller à la ligne pour qu'il y ait poésie est un contre-sens, et je ne vais pas tarder à l'écrire, et ça sera publié dans Décharge 161, qui fait un nouveau tour de la question de la coupe dans le vers libre.

    Où qu'on coupe, alors ? he bien, je vous le demande ...

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