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On joue
Bannière pour le Printemps poétique de la Suze (travail en cours)
Un petit groupe d'artistes s'attache chaque année à pavoiser – Quelqu'un, en aparté, dans sa barbe : « Pavoiser ! Ya bien d'quoi ! » – les rues de la Suze-sur-Sarthe à l'occasion du Printemps poétique.
Cette année, sur le thème En jeux, la poésie.
J'ai choisi un extrait de poème d'Alain Helissen*.
* Alain Helissen, On joue tout seul, éditions Corps Puce, 2010
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Commentaires
Ah... si toutes les brunes, les rousses, les châtain clair, les auburn, les blanches, les frisées, sans compter les bruns, les noirs, les blonds, les roux, les chauves, les mal coiffés... se mettaient à leur tour à rêver le monde !
J'en ris encore...
Sait-on que c'est en regardant une brouette que Pascal a inventé la calculette.
L'orge et le houblon – ou la châtaigne pour la Petra – ne sont-elles pas plantes à protéger ?
10Hector san maloJeudi 7 Août 2014 à 18:05Ah non, pas la Suze.. J'étais à saint Cast, dans un bistro ami.. les bistros sont mes amis, ils m'accueillent à des heures de nuit.. J'étais donc las . Quand j'ai voulu me loger derrière la cravate, une Suze, le patron m'a dit (faut dire qu'il avait une paire de moustache à brosser un pont un jour de grande marée, ) qu'il avait tout sauf de l'astuce à vendre...
J'ai compris que ce barbouze de comptoir n'avait aucune poésie.. La Suze c'est que des plantes qu'il faut protéger, merde alors !
La fin de l'histoire ? Un jambon-beurre et un demi.. Je sais ça manque de gentiane.
Hector ami des plantes
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.ah.ces blondes... qui osent surprendre et rêver le monde