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P. sup. à l'us. des p. & c. de lacs...
Dans la série Petit supplément illustré à l'usage des poètes & des contemplateurs de lacs qui relèvent d'un geste machinal le col de leur redingote quand le zéphyr passe et frémit, un poète courant, mais un peu tard.
À propos d'iceux, poètes, en voici deux qui ne s'encombrent pas de l'alexandrin et dont les recueils arrivent sur les étals avec la reine des reinettes : Francis Krembel (Dans l'atelier du jour) et Alain Boudet (Roissy). aux éditions Donner à Voir. À ne pas rater.
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Commentaires
2paul(A)Lundi 5 Octobre 2015 à 06:48il est déjà bien loin l' alexandrin
en ces temps tristes de la grisaille !le poète n'entendit pas siffler le train
car il sifflait un dernier verre
en v'là du travail !
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Lundi 5 Octobre 2015 à 10:17
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5KLundi 5 Octobre 2015 à 11:13Pour le décharger des contraintes horaires des transports en commun, faudrait-il fournir au poète une voiture de fonction ?
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Au train où vont les choses, le rater peut être une chance à saisir !
Il reste l'autostop. Lever le pouce n'est pas mettre les pouces.