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Pas aussi vain
La vanité de notre écriture
Nous fait découvrir
Le mot où habite l'oubli.Vanité. Au point de rencontre de ce poème de Jose Millas-Martin qu'une petite note de Topa me fait ressortir et du premier crayonné d'une illustration pour une édition à venir. Vanité croisée avec celle de Philippe de Champaigne** conservée au musée de Tessé au Mans.
* Jose Millas-Martin, Du jour au lendemain, in Trayecto/Trajet, édition Sepia, 1994.
** source et documentation : site de l'académie de Nantes.
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Commentaires
3yannickVendredi 15 Novembre 2019 à 11:18"Ça rigole pas !"
et en contrepoint tout de même de Bonnefoy :
Ah, peintre, qu’est-ce donc que cette main Que tu prends dans la tienne quand tu dors, Pourquoi la retiens-tu, cette main d’enfant, Comme si sa pression te délivrait D’une peur qui ravage tes images ?
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Vendredi 15 Novembre 2019 à 22:38
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Subtilement, comme d'habitude, tu "convoques" le José pour le rappeler à notre bon souvenir. Ô paradoxe !...
Je ne veux pas dénoncer, mais c'est toi qui as commencé le premier.