• Pas de Lacédémonie entre nous

    On dit que le rouge et le blanc sont antipathiques.

    (Denis Diderot)


    Vins de Bourgogne

    Belles pièces en Bourgogne – Claude Vercey

     

    « Les jeunes Lacédémoniennes dansaient toutes nues, et les Athéniennes les appelaient montre-cul. Elles le montraient bien en pure perte pour les beaux-arts qui n'étaient exercés à Sparte que par des étrangers ou des esclaves.»*

     

    Merci à Claude Vercey pour cette photo et à Denis Diderot qui a bien voulu la commenter.

     

     

    * Pensées détachées sur la peinture.

    « TerraquéUn blanc aligoté avec mes rillettes ? »

  • Commentaires

    1
    Mercredi 10 Avril 2013 à 06:39

    On ne louera jamais assez l'apport des contributeurs à ce blog : ici, le coup d'oeil avisé de Claude et l'esprit d'à-propos de Denis...

    2
    Mercredi 10 Avril 2013 à 06:55

    tchin à l'amitié

    3
    Mercredi 10 Avril 2013 à 07:45

    Quant au pinot noir, à boire sur un air de piano noir.

    4
    Mercredi 10 Avril 2013 à 08:25

    Les coutumes ont bien changé !

    5
    Mercredi 10 Avril 2013 à 08:49

    "Le terme montrecul vient de ce que le lieu est très pentu, ce qui permettait, lorsque les vigneronnes travaillaient, de voir sous leurs robes depuis le bas de la pente." dixit Wikipédia.=^.^=

    6
    Mercredi 10 Avril 2013 à 16:40

    Et comme dit Delille – c'est un poète, on ne comprend pas tout, mais on sent bien qu'il complimente – :

    « L'or naît dans les sillons qu'enrichit la culture :
    Ahoui est le creuset qui mûrit leurs travaux,
    Et le soleil lui-même échauffe les fourneaux.»

    7
    Mercredi 10 Avril 2013 à 16:41

    Tchin !

    8
    Mercredi 10 Avril 2013 à 16:49

    En accompagnement d'un rôti de porc farci, mijoté... au pinot noir !

    « C'est raccord !» (Kevin)

    9
    Mercredi 10 Avril 2013 à 16:50

    Tu parles de visu !

    10
    Mercredi 10 Avril 2013 à 17:47

    JACQUES: Tout a commencé par la perte de mon pucelage. je me suis saoûlé, mon père m'a filé une raclée, un régiment passait dans le coin...

    L'AUBERGISTE, entrant: C'était bon?

    LE MAITRE: Délicieux!

    JACQUES: Excellent!

    L'AUBERGISTE: Encore une bouteille?

    LE MAITRE: Pourquoi pas?

    L'AUBERGISTE, vers la coulisse: Encore une bouteille!... (A Jacques et à son maître:) J'avais promis à ces messieurs de leur racconter l'histoire de Madame de La Pommeraye après ce bon dîner...

    JACQUES: Nom de Dieu! Patronne! Je suis en train de raconter comment je suis devenu amoureux!

    (M. Kundera, Jacques et son maître, d'après Diderot)

     

    11
    Jeudi 11 Avril 2013 à 23:11

    Ah oui ? On nous cache tout !

    12
    Jeudi 11 Avril 2013 à 23:12

    Tout alcool est à boire avec modération...

    13
    Jeudi 11 Avril 2013 à 23:14

    Ah, si Denis avait vu ça !

    14
    Vendredi 12 Avril 2013 à 00:18

    Le papa de ma maman était tonnelier, seul ouvrier du patron ; après lui il n'y eut plus de tonnelier dans la ville ; je regrette de ne pas avoir de ses œuvres, pas même une trace photographique.

    15
    Vendredi 12 Avril 2013 à 08:44

    "Un jeune et fier tonnelier...", comme dans la chanson.

    16
    martine
    Jeudi 7 Août 2014 à 17:38

    peut-être ce vin montre cul est à boire avec modération...l'excès de ce vin fait-il perdre toute inhibition?

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