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Pour qui elle nous prend la pub ?
Jordan a gravé une fleur pour son amoureuse sur le mur de toilettes publiques. Jordan, tu passeras à la postérité si les petits cochons ne te mangent pas.
À propos – sans transition – deux réclames dans l'air du temps :
« Quand on mange du Boursin, on mange du Boursin.»
« Si ce n'est pas un iPhone, ce n'est pas un iPhone.»
Imparable !
« C'est ben vrai ça » aurait dit la Mère Denis, autre vedette de la réclame.
« La publicité nous prend pour des cons, la publicité nous rend cons. » (Hara-Kiri)
« C'est ben vrai ça » aurait ajouté la Mère Denis.
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Commentaires
@Topa - Quand on vit une époque formidable, on vit une époque formidable. Enfin, là-dessus, on pourrait trouver à redire.
@Cristophe - C'en n'est pas d'la lessive !
la réclame en devenant pub se dévoie et nous leurre et tente de nous abêtir.
depuis le néolithique les graphes persistent et signent.
signé : dans l' R du temps
5MartineSamedi 5 Septembre 2015 à 10:56dans les réclames il y avait un argument, dans la pub ça disparait ne reste qu'un truc tordu, qui stimule les zones du cerveau entamées par les pollutions diverses.
signé ; Paul Émique
9VougeotDimanche 6 Septembre 2015 à 20:05
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- T'inquiète, Jordan, l'expression avec les petits cochons, c'est juste une image...
- Quand on prend le train touristique entre Portbail et Carteret dans le Cotentin, un petit arrêt est programmé pour aller voir le lavoir de la mère Denis ainsi que sa dernière maison...
- On vit une époque formidable. (Reiser)