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Pour une belle journée, ce fut une belle journée
Journée mondiale de la poésie à Bragança – Jeunes participants.
Pancarte des manifestants de la poésieAujourd'hui, 25 mars : journée de la procrastination. Authentique !
Belle occasion pour évoquer cette autre journée mondiale qui m'est tombée dessus au détour d'une place de Bragança (Portugal) : la Dia Mundial da Poesia ! Les jeunes des écoles et collèges de la ville manifestaient dans la rue pour la défense de la poésie. Calicots et pancartes sur le thème des mots du monde. En portugais, mais aussi en anglais, en français... Vivifiant. Le printemps n'est pas si loin.
Note
Le 21 mars – journée mondiale de la poésie – est également la journée mondiale du rangement de bureaux. Faut-il y voir une provocation ?
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Commentaires
trop procrastiner révèlerait un problème de relation avec le père...la poésie.. je ne sais pas..
(Je ne remets pas mon commentaire à demain.)
Je me suis planté, aujourd'hui je vais ranger dans mes étagères de CD, qui ne sont pas dans un bureau. (Véridique.)
Très belle initiative !...
Un peu de ping-pong poétique avec une pensée de Fernando Pessoa :
"La beauté d'un corps nu n'est sensible qu'aux races qui vont vêtues."
(LE LIVRE DE L'INTRANQUILLITÉ.)En rangeant son bureau, on retrouve des poésies oubliées.
Pour le 21 mars, j'avoue que ce fut une coïncidence, merci de me l'avoir fait savoir !
Si l'on parle de poésie et de rangement, ce début de poème de Carl Norac :
"Changer le monde commence dans ma chambre…".
On t'attendait. Ahoui…@Flora – Est-ce suffisant ?
@K – Dialogue à suivre :
– Chérie ! Je n'trouve pas mon nœud pap' !
– Dans l'tiroir à sonnets !@photodilettante – Même quand le père est un héros au sourire si doux ?
@Cristophe – Je jette un œil au rayon B de la tour à CD. Entre Bashung et Brassens, quelques égarés dont O Lusitano, avec Gérard Lesne. En plein dans mon actualité !
@Minik do – Tu es un sage.
@Topa – Je ne l'ai précisé, mais ces jeunes fréquentent l'établissement Miguel Torga. Du nom du poète originaire de la région, que j'ai découvert à l'occasion. Un des Poèmes ibériques, dans la traduction de Claire Cayron et Louis Soler (José Corti, 1990) :
LE PAIN
De soleil à soleil, le soc fend la terre.
De soleil à soleil, coule la sueur.
Et chaque goutte est un grain
de la semaison,
pure souffrance que, dans la fournaise
de la moisson future,
fauche, bat et vanne
la faim inassouvie.@Lily – Même en ne rangeant pas, on trouve...
@Alain – Carl Norac rangerait-il ?
10LeWolfJeudi 26 Mars 2015 à 15:25Pour contrer gentiment Flora, et en hommage à son époux : est-ce que une nécessité peut être un luxe?
11MartineVendredi 27 Mars 2015 à 09:53J'ai remis mon commentaire à demain.....enfin aujourd'hui....je m'y perds....je te croyais encore en pause
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Ranger son bureau est-il un luxe nécessaire ?