• Projet généreux

    Affiche Handi'chiens Deux pièces au programme.

    Du vent est tiré de l'Art de péter de Hurtaut et d'écrits de Mozart et Rabelais, dans une mise en scène dense et brillante d'André Lenoir.

    Dans l'Entreprise, Béatrice Pasquier, auteure et metteure en scène, sait ménager des moments de rire, dans une description sans concession de la vie d'une entreprise à l'heure des licenciements.

     

    Projet initié par un groupe d'élèves du lycée professionnel agricole d'Alençon. Le bénéfice des deux soirées servira à financer l'éducation de chiens d'assistance à personnes handicapées.

    « QuandImposture »

  • Commentaires

    1
    Lundi 10 Janvier 2011 à 05:48

    ces pièces doivent être hautes en coleurs;ton affiche est donc la cherise sur le gâteau..tu sais celle que les enfants réclament en premier.

    2
    Lundi 10 Janvier 2011 à 08:02

    Quand on habite La Cherisaie, on ne peut que monter des pièces de Tchéquoffe ....

    Quant à l'entreprise, un conseil de lecture : "Débrayage" de Rémi De Vos, édition Actes Sud

    3
    Lundi 10 Janvier 2011 à 12:12

    Cherise, bien chûr... On apprend aux enfants à ne pas parler la bouche pleine.*

     

    * On ne leur apprend pas non plus à parler auvergnat. (Brice)

    4
    Lundi 10 Janvier 2011 à 17:57

    Si la pièce est donnée dans mon environnement...

    Cette semaine, les Chaises d'Eugène Ionesco.

    5
    Lundi 10 Janvier 2011 à 18:18

    Il l'est.

    6
    Lundi 10 Janvier 2011 à 20:41

    Merci, l'artiste, de nous proposer les ébauches de ton travail, cela nous permet de nous égarer sur les fausses pistes..

    + Bon vent, ou plutôt bons vents, à ces troupes résolument vivantes...

    7
    Lundi 10 Janvier 2011 à 22:56

    Ouaips. De la difficulté de créer pour un programme aussi varié.

    8
    Lundi 10 Janvier 2011 à 23:07

    Himself (lui-même in French).

    Je peux témoigner qu'il mène un excellent travail de metteur en scène. J'ai eu l'occasion d'apprécier les Voyages de Gulliver par des scolaires, Mystère bouffe de Dario Fo, la Punaise de Maïakovski ou encore le Concile d'amour, d'après Oscar Panizza... Le choix des auteurs n'est pas anodin.

    9
    Flora
    Jeudi 7 Août 2014 à 18:07

    Quelle pétulance...(si le tutoiement est autorisé) !

    10
    oncle pa
    Jeudi 7 Août 2014 à 18:07

    André LENOIR ?

    Que le Diable me tripote et que ma mémoire flanchâsse !

      (Oui, je m'y mets à ,la novlangue du sieur Président des incultes richissimes..)..

    Je reprends mon propos :

    André LENOIR ? ce sympathique et - limite - iconoclaste des belles heures trotskistes de mon passé que je revendique sans vergogne.. Mon Dédé, à mi-chemin entre la Révolution et la mise en scène ?

    André LENOIR, l'Homme affable et à femmes, ce compagnon de tant de combats pas toujours victorieux, complice de ces essentielles discussions plus littéraires qu'apparemment révolutionnaires.. Ce complice , ennemi des appareils aux dents usées au granit du stalinisme,  néanmoins capable de coups de poings reçus et vif à les rendre ?

    André LENOIR, sa gosse en bandoulière, riant des chaleurs des étés dans les Alpes d'une Haute Provence, autour d'un tapis de lutte ? La nuit tombée, prêt à la baston culinaire ? 

    Décidément, dans la petite Fabrique d'Ahoui, les ouvriers restent au turbin.

    C'est Classe ! Ouvrez les yeux : le Nouveau Monde est en marche !

    Oncle pa, ami dédié au noir...

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