• Propos

    BrestBrest – octobre 2016

    Bien qu'on se trouve ici face à une photographie, et non devant un tableau peint, Les Propos du temps qui passe* de Claude Held m'ont accompagné toute la journée :
    « On porte toujours en soi des paysages. On les a traversés. Ils nous traversent. Comment regarder un tableau avec des yeux sans paysages ?
    « Comment atteindre peu à peu l'abstrait, ses lignes, ses formes, ses couleurs, sa matière, sans sombrer dans la facilité d'ici est un nuage, là un fleuve ou, à l'autre extrémité, ceci est le non énonçable ? »


    * Propos 2 éditions, 2016. Du même auteur, chez le même éditeur, les amateurs ne pourront manquer 64 petites proses pour accompagner Magritte, 2011.

     

    « Enchanté ! – De même !Troc »

  • Commentaires

    1
    yannick
    Vendredi 21 Octobre 2016 à 06:07

    Brest-octobre 2016

    entre le lieu et le temps, un tiret de couleurs ... tonnerre !

      • Samedi 22 Octobre 2016 à 08:12

        Ne jurons de rien.

    2
    Vendredi 21 Octobre 2016 à 06:44

    C'est toujours bon de lire du Claude Held, ça fait bouger nos neurones !...

      • Samedi 22 Octobre 2016 à 08:18

        Tout à fait.
        J'ajoute – tu y seras sensible – ces trois vers extraits de "Paysage démonté 5" ::
        « faut-il
           peindre
           la pluie ? » [...]

    3
    Samedi 22 Octobre 2016 à 10:42

    "Chacun va vers l'image qu'il porte déjà en lui-même." (Edouard Boubat)

    4
    Samedi 22 Octobre 2016 à 16:13

    des couches picturales qui ont travailler dans la mémoire et dont on a oublié l'origine tout en conservant l'émotion qui accompagnait, toute une aventure

    signé : sur la ligne

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