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Quelque chose
Yannick écrit à propos de Pour en finir... (billet précédent) :
« Je sens le gars qui va vers le quelque chose de quelque chose et c'est pas rien.»
À ce moment du récit, je ne sais pas où je vais. Je suis (du verbe être). Simplement.
Le même dialogue peut s'appliquer à l'encre ci-dessus.
La main y a trouvé matière à agir : les deux essais de couleurs ci-contre.
Toile à venir.
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Commentaires
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La rime a des bisons
que le gazon
ne connaît pas
Patrick Joquel
Yves Barré
édition Pointe Sarène
Abécédaire amoureux animalier
V. Rougier éditeur
Instants nomades
Chantal Couliou
images Yves Barré
éd. Gros Textes
La Mouche
dans tous ses états
Jean-François Forestier
images Yves Barré
éd. Gros Textes
page control
Patrick Joquel
illustrations Yves Barré
éd. Pointe sarène
On peut dire ça comme ça
Bernard Colas
illustrations Yves Barré
V. Rougier éditeur
Un jour je serai
Cathy KO
images Yves Barré
éd. Donner à Voir
Pas tout à fait
mais presque
Yves Barré
Gros Textes
Agendada 4
Werner Lambersy
ill. Yves Barré
V. Rougier éditeur
Pour attraper
le printemps
Jacqueline Held
& Yves Barré
éditions Gros Textes
Quasi-poèmes
Yves Barré
ill. Emmanuelle Brisset
Décharge / Gros textes
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La matérialisation du souffle créateur...
Je viens de lire un article sur "Comment naissent les idées ?". Ce souffle dont tu parles serait dû à un afflux d'ondes gamma dans l'hémisphère cérébral droit. Mais je ne suis pas sûr d'avoir tout compris (paresse de l'hémisphère gauche !)