• Contrastes africains Motif africain. On ne dit pas motif européen ! Ce serait sans motif !
    Et on ne dit pas art primitif, on dit art premier. C'est du dernier cri.

    Recto du prospectus qui annonce le prochain événement du centre culturel du Courmesnil. On dit flyer. C'est planant.

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  • La demi-finale
    Ce tableau a été commencé après avoir regardé le Café, place Lamartine, à Arles, de Van Gogh.
    – Ça ne dit pas comment tu es arrivé là !
    – Non ! Seulement d'où je suis parti.

    Le score est toujours vierge à la mi-temps.

    La demi-finale, 2009, acrylique sur toile, 36 x 44 cm

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  • Maison 313 – On n'a pas déjà vu cette maison quelque part ?
    – Sans doute voyagez-vous beaucoup !



    Maison 313 (Maison sur l'île), 2009, acrylique sur toile, 80 x 100 cm


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  • Visuel la toile de l'un C'est tout petit, mais ça dit beaucoup d'un site qui serait comme une maison du poème. Main ouverte – bouquet de fleurs, feu d'artifice – pour le partage.
    – Faut voir.
    – A qu'à cliquer.

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  • Sillé-le-Guillaume
    Comme les Mousquetaires, les trois bouleaux se mettent en quatre.

    Rémi-Georges, dont je me demande comment il a pu se reconnaître dans la description du quidam sans-gêne*, m'invite à publier son point de vue. En termes peu galants que je ne peux reproduire ici, égard au jeune public qui visite ces pages. Je reconnais néanmoins que je n'ai pas fait mieux. La preuve.

    * Jeudi 15 octobre.

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  • USA - Photo Michèle Au-dessus des États-Unis – 2009 – Photo Michèle



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  • Coupure presse
    L'échotier qui a commis ce titre espérait-il toucher la prime à la rime riche ? La question semble saugrenue et pourtant... il est à nouveau question d'établir une taxe sur la rime pauvre qui financerait un fonds de récompense aux défenseurs de la langue française.
    Le projet de décret de mars 1995, jamais finalisé, annonçait dans son article 1er : « Le fait de ne pas employer de rimes riches dans les conditions prévues par la loi du 4 août 1994 susvisée relative à l'emploi de la langue française, dans toute œuvre à prétention poétique, de forme fixe, est puni de la peine d'amende prévue pour les contraventions de la 4e classe.»
    On peine quand même à croire qu'ils vont oser.

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