• Revoir un ange

    Par ahoui dans vade retro le 29 Août 2014 à 00:00

    Année de commémorations. Pendant ce temps, les affaires continuent.
    Un billet de décembre 2006, avec sa note brève qui n'expliquait pas grand chose.

    L'aile de l'angeL'aile de l'ange est creuse.
    Que veux-tu, c'est la guerre.

    Petite toile (24 x 19,5 cm).
    Collages : bout d'aile d'angelot de monument funéraire en stuc, soldats de plomb en plastique. Peinture fraîche.

    - Tu as vu l'expo Rauschenberg ?
    - Oui. Pourquoi ?
    - Comme ça. Pour rien.


    Note de 2014 : Exposition Robert Rauschenberg : Combines, au Centre Pompidou.

     

    « Autre relectureC'est pas permis ! »

  • Commentaires

    1
    Cristophe
    Vendredi 29 Août 2014 à 07:58
    Cristophe

    Un ange trépasse, c'est la guerre.

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    2
    thé âche
    Vendredi 29 Août 2014 à 08:10

    mettre du plomb dans l'aile (de la paix) sans  perdre  des plumes. tout est façade pour les commentateurs de commémorations.

    signé : plastiqueur de con sans sus

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    3
    Topa
    Vendredi 29 Août 2014 à 08:31

    "Les anges n'usent pas de chaussures." (Machin)

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    4
    Pétard
    Vendredi 29 Août 2014 à 08:51

    Je me demande si ces 2 soldats de "plombs" ne sont pas à moi? Ma petite soeur me les aurait piqués il y a un certain temps; mais y'a pas prescription!!

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    5
    Lily
    Vendredi 29 Août 2014 à 15:32

    C'est un ange pleureur. Y'en a comme ça ...

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    6
    ahoui Profil de ahoui
    Vendredi 29 Août 2014 à 22:47
    ahoui

    @Cristophe – Ça commence généralement comme ça.

    @thé âche – Un consensus pour la paix... ça défrise quelqu'un ?

    @Topa – Voilà qui explique la haine farouche que leur portent les cordonniers.

    @Pétard – Je tiens à ta disposition, le ticket de caisse d'achat de ces soldats. Un plein sac choisi pour quelques gueules fondues dont l'une trouve place ici :


    De guerre las, 2013, crayon noir et collage dans boîte en bois

    @Lily – Je ne sais pas. J'en connais peu.

    Répondre
    7
    Lily
    Samedi 30 Août 2014 à 08:47

    Celui d'Amiens me reste en mémoire. Les poilus l'envoyaient en carte postale à leur famille ou leur petite amie.

    Répondre
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