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Revoir un ange
Année de commémorations. Pendant ce temps, les affaires continuent.
Un billet de décembre 2006, avec sa note brève qui n'expliquait pas grand chose.L'aile de l'ange est creuse.
Que veux-tu, c'est la guerre.
Petite toile (24 x 19,5 cm).
Collages : bout d'aile d'angelot de monument funéraire en stuc, soldats de plomb en plastique. Peinture fraîche.
- Tu as vu l'expo Rauschenberg ?
- Oui. Pourquoi ?
- Comme ça. Pour rien.
Note de 2014 : Exposition Robert Rauschenberg : Combines, au Centre Pompidou.
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Commentaires
mettre du plomb dans l'aile (de la paix) sans perdre des plumes. tout est façade pour les commentateurs de commémorations.
signé : plastiqueur de con sans sus
Je me demande si ces 2 soldats de "plombs" ne sont pas à moi? Ma petite soeur me les aurait piqués il y a un certain temps; mais y'a pas prescription!!
@Cristophe – Ça commence généralement comme ça.
@thé âche – Un consensus pour la paix... ça défrise quelqu'un ?
@Topa – Voilà qui explique la haine farouche que leur portent les cordonniers.
@Pétard – Je tiens à ta disposition, le ticket de caisse d'achat de ces soldats. Un plein sac choisi pour quelques gueules fondues dont l'une trouve place ici :
De guerre las, 2013, crayon noir et collage dans boîte en bois@Lily – Je ne sais pas. J'en connais peu.
Celui d'Amiens me reste en mémoire. Les poilus l'envoyaient en carte postale à leur famille ou leur petite amie.
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Un ange trépasse, c'est la guerre.