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Solstice d'hiver : pas trop tôt !
Dans le billet précédent, Topa invitait à rebondir avec les "Papiers collés" de Georges Perros. Je rebondis.
À l'atelier, l'encrage de gravures a laissé ce macule qu'on ne verra plus du même œil, confronté à ce qu'écrit Georges Perros :
« Il s'agit de faire vivre cela qui n'est strictement rien, ne ressemble encore à rien, dont personne ne s'est aperçu, de le naturaliser à la mesure humaine, non sans lui laisser comme le souvenir de son origine magique [...] »* Georges Perros, Papiers collés, tome 2, Gallimard
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Commentaires
Voilà du boulot pour la macula !...
Et qu'on n'imagine pas qu'elle travaille à l'œil.