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Sortir de l'oubli 3
Autres toiles tirées de l'oubli.
Difficiles à dater car rien qui ressemble dans les autres productions. Peinture étalée au couteau de cuisine et grattée avec le même outil.
Étreinte & ce qui en résulte est le titre.
Si on peut voir un couple enlacé (à gauche), la deuxième toile reste une énigme. Le mot "ouvre" sur fond orangé est lisible en haut, cela ouvre-t-il autant de possibles ?
– C'est pas toi qu'as peint ?
– Si... mais !
Étreinte & ce qui en résulte, diptyque, avant 2000, collage et acrylique sur toile, 41 x 33 cm
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Commentaires
2yannickMardi 6 Juin 2017 à 06:51Quel frisson y a -t-il sous l'appeau de la toile quand on la caresse et gratte à l'envi .?
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Mardi 6 Juin 2017 à 10:02
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3FloraMardi 6 Juin 2017 à 10:13on va être obligé de créer une fondation pour pouvoir exposer ces œuvres, j'imagine le boulot ...
signé : intitulé
5LE WOLFMercredi 7 Juin 2017 à 09:34Dis-moi où c'est l'oubli, que j'y aille au plus vite ? On dirait du Fautrier, mais là, faut tout garder.
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"Elle avait les mains froides comme celles d'un serpent." : citation attribuée à Ponson du Terrail et reprise par Alexandre Breffort dans Les contes du grand-père Zig.
À juste titre, tu soupçonnes une citation apocryphe, mais où m'as-tu encore entraîner ce matin ?
Lu dans le Bulletin de la société d'études des Hautes-Alpes, n°51, 1959 (gallica.bnf.fr) :
On a coutume de citer certaines des trouvailles de Ponson du Terrail, notamment celle-ci : « Ah ! Ah ! dit-il en portugais et en riant, car il connaissait les deux langues ! » et encore : « Il avait la main froide comme celle du serpent. » César Paolant, qui a lu tout Rocambole dans l'espoir d'y découvrir ces deux phrases, peut attester n'avoir jamais rencontré la première; quant à la seconde, en voici le texte exact : « Cette femme avait la main froide comme le corps d'une couleuvre » (Rocambole. Un drame dans l'Inde, chap. XXV).