Ruillé-en-Champagne, La Chevescherie vue depuis la Vègre

Fallait-il n'avoir rien d'autre à peindre pour s'appliquer à marquer tous ces plans d'un bleu chaque fois différent ?
Si, demain, je repeins la toile, je conserve deux bleus, point. Et la tache orangée.

– encre de Chine sur papier, 24 x 18 cm.
– acrylique sur toile, 40 x 30 cm.

Deux vues de la rue de l'ancienne école de Ruillé-en-Champagne.
Après-midi d'été.
Très marquées déjà dans le dessin à l'encre de Chine, lumières et ombres vont simplifier à l'extrême la représentation à l'acrylique.

– encre de Chine sur papier, 2023, 24 x 18 cm
– acrylique sur toile, 2023, 40 x 30 cm

Champ de colza, 2024, acrylique sur papier, 42 x 28 cm

Autre étude de champ de colza – les études c'est parfois répétitif.

Autre image (demain, j'arrête) du Chemin des poètes 2009. Les 16 images sont sur le site yves.barre.free.fr.

Celle-ci pour accompagner un poème de Luce Guilbaud qu'on peut lire sur le blog Biloba.

Tracé autour du village de Durcet (Orne), le Chemin des poètes est balisé de 16 bornes accueillant chacune le poème d'un auteur, le plus souvent contemporain. Chaque année, au printemps, les amateurs (plus d'une centaine) empruntent ce chemin à la rencontre des auteurs qui donnent lecture de leurs textes. Ces textes sont regroupés dans un recueil illustré, chaque année renouvelé.

Autant de poètes, autant d'écritures. Pour cette édition 2009, je me suis efforcé de créer un lien graphique entre les poèmes : c'est l'arbre qui assure ce lien. Pour la technique : plume et  encre de Chine.

L'image illustre une réalisation de Jean-Paul Plantive qu'on peut lire sur le blog Biloba.
 

Champ de colza (étude), mars 2024, acrylique sur papier, 28 x 42 cm

Si l'edelweiss était rouge, on l'appellerait coquelicot.

Série Le Grand Répit
2024, pastels, craies et fusain sur papier kraft, A4