• Un aréopage

    Printemps des poètes de Durcet*, avril 2005.

    On a parlé à l'époque d'un aréopage de poètes. C'est abusif. L'assemblée était si dissipée qu'on aurait pu parler d'une classe en fin d'année scolaire, après que tous sont assurés du passage dans la division supérieure.

     

    Durcet 2005

     

    Durcet 2005

    Un clic sur les images pour agrandir – photos Maïette      

     

     

    Une pensée particulière pour Liska (en manteau gris, au centre de la photo), décédée en février 2011.

     

    * Tout ça pour rappeler que la poésie suit son chemin à Durcet en 2014. 12 et 13 avril : Sur le chemin des poètes et Petit salon de la poésie.

    « Pause toujoursRhizome »

  • Commentaires

    1
    Lundi 2 Décembre 2013 à 06:51

    La vache ! Une photo du XXème Printemps ! Une édition "historique" avec (presque) cent poètes !... Deux soirées pleines, que ce soit celle du cirque de la famille Morallès ou celle de Julos...

    Cela dit, comme tu l'avais prévu, je n'ai pas le courage de faire parler chaque participant(e)... (J'ai aussi une pensée pour Lise et une autre pour Rüdiger...)

    Merci en tous cas à la photographe...

    2
    Lundi 2 Décembre 2013 à 09:40

    As-tu remarqué qu'il faut deux photos pour qu'on nous voie l'un et l'autre ?

     

    3
    Lundi 2 Décembre 2013 à 11:14

    du beau monde. le chapiteau derrière eût pu faire penser à des clown.

    signé : la claque

    4
    Lundi 2 Décembre 2013 à 11:29

    Quel cirque !

    Après tout, le poète n'est-il pas à la fois jongleur, acrobate, funambule, prestidigitateur...

    5
    Lundi 2 Décembre 2013 à 21:34

    ... des jongleurs de mots, des dresseurs de phrases...

    6
    Lundi 2 Décembre 2013 à 21:36

    ... et, clou du spectacle, il retombe sur ses pieds.

    7
    Lundi 2 Décembre 2013 à 21:39

    Eh oui ! La galipette, c'est un métier !

    8
    vougeot
    Jeudi 7 Août 2014 à 17:31

    Retour sur l'image tout à fait inattendu.

    Grâce aux deux photos, on identifie assez bien la cause de la dissipation : l'espèce de culbute tenté par Jean-Pierre Lesieur, sans doute traumatisé par les exercices présentés sous le chapiteau  ...

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