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Une famille de sportifs
Si quelques places d'honneur récompensèrent les efforts, jamais un frère Ripolin ne gagna de course cycliste. Et quand on leur demandait pourquoi ils s'obstinaient à s'engager sans espoir de victoire, ils répondaient invariablement : « Faire ça ou peigner la girafe ! »
Ces frères Ripolin, quels pince-à vélo-sans-rire !
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Commentaires
Belle prise !
On connaissait, bien sûr, les Garin, les Pélissier, les Lazaridès, etc. et plus près de nous, les Jalabert, les de Vlaminck, les Chavanel ou les Schleck. En revanche, un cliché des Ripolin, voilà qui a de l'allure.
Cela m'émeut d'autant plus que ces garçons doivent être (je n'ai pas eu le temps de vérifier) des descendants directs du grand poète injustement méconnu, Aléa Ripolin.
Pour les curieux, on peut le retrouver ici.
Rebond savoureux.
Tu as tout à fait raison de rappeler qu'Aléa est un grand poète injustement méconnu, même si dans l'œuvre que tu cites, ce visionnaire a un peu surestimé – licence poétique ? – le nombre de vergues du viaduc de Millau. Il y en a, en réalité, huit de moins.
Je n'ai pas réussi à établir un lien de parenté entre Aléa Ripolin, le poète, et Henri dit Riri, Paulo et Lino.
peindre à la force des pédales, j'imagine la route à la fin de la course. glycérophtalique si je me souviens bien, mais pas de l'orthographe.
signé la girafe
10lizagrèceJeudi 7 Août 2014 à 17:49
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Ah si les frères Ripolin avaient bu du Gibolin !