En vacances avec Rahan – juillet 08 On le laissait grandir encore le fils de Crao, de la grande horde de « ceux qui marchent debout », il nous inventait le téléphone portable et la clé USB !
Lire la suiteVacances en diable – juillet 08 Le diable que j'utilise pour déplacer les pierres de sculpture, transformé en jouet. Un enfant, c'est moins lourd qu'une pierre ; et beaucoup savent nager.* Le mot du jour (après chute vélo) : « Ma blessure est grande comme...
Lire la suiteL'index prend le pouls d'un bousier qui fait le mort. Du bousier, parlons justement. Le grand bousier. Celui qui a roulé la planète. Il en aurait pas laissé un peu trop Sur les bords... De la merde ?* * Les plus raffinés liront excrément, mais il s'agit...
Lire la suiteAu musée Robert Tatin, la Frénouse, Cossé-le-Vivien – juillet 2008 (photo Maïette) Le petit Maurice Utrillo a commencé à boire de l'alcool à huit ans ! Ah ! Ça...
Lire la suiteŒufs de dinosaures – Eh ben, tu sais pas ? On a mis à éclorer des œufs de dinosaures !
Lire la suiteCréation de Miel (9 ans) « Vous est-il arrivé de contempler face à face les yeux d'une chouette ? C'est comme un miroir immense, mais terni ; on y devine, vaguement, une foule de choses mystérieuses ; cela ressemble à des trous ouverts sur d'insondables,...
Lire la suiteQuel talent ! – Tu parles de l'enfant ? – Non, je pensais à Charles-François Farcy qui écrit, dans son Essai sur le dessin et la peinture relativement à l'enseignement : « C'est par ses beaux côtés qu'il faut copier ce peintre sublime.» * Ce n'est pas...
Lire la suiteÀ l'atelier couture des vacances, debout sur le pédalier de la machine à coudre, le premier a réalisé un sac tout rouge de la taille d'un livre ; la deuxième, ce sac chouette en tissu éponge ; la troisième, un autre sac avec le même oiseau fait lui aussi...
Lire la suiteSur un site d'accrobranche Je connais quelqu'un qui fête son quarantième anniversaire aujourd'hui. J'irai l'embrasser quand il descendra de son arbre.
Lire la suitePour une somme modique, j'ai acheté ce balai de bouleau auprès de trois joyeux lurons* – Maxime, Sylvain et Matthieu – qui, avec la complicité de leur grand-père**, en assurent la fabrication dans un atelier clandestin proche de chez nous. On m'a affirmé...
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