Par ahoui
Oublier présente l'avantage de réserver d'agréables surprises lors de redécouvertes fortuites.
C'est le cas pour le court poème – quasi-poème – suivant retrouvé dans l'anthologie Ailleurs (n° 64/65 de la revue Cotcodi, 2005), publiée à l'occasion du 20e Printemps de Durcet.
Petit ailleurs chez soi
vaut mieux que
grand ailleurs
chez les autres
– pourvu qu'il soit riche –
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