Un lien qui m'avait échappé...

Ce cormoran venait – vient – en écho à la contribution de Jean (l'astuce) Bertrand.

encore un qui va mal voter..il gobe facilement du gros.....

bravo pour la photographe...quel oeil!

La photographe va encore prendre du galon !... Bravo !...

Le rebond nous emmène vers le poète Tristan Corbière de Morlaix qui a écrit quelque part :

— Ô viens changer de patte au cormoran pensif ! »

                                                                           (Litanie du sommeil)

Anguille suicidaire, peut être ?

"Mâche bien" ai-je envie de dire au cormoran. (oui je tutoie les cormorans !)

Pas quel œil ! Mais quel objectif ! ;-)

Je ne connais pas ses antécédents.

Ses piges pourraient bien me coûter davantage...

À propos de Corbière, vu cet été au musée des beaux-arts de Quimper, une gravure de Romanin (Jean Moulin) illustrant la Pastorale de Conlie – un sombre bourbier dans le chef-lieu de canton voisin, comme savent en faire les faiseurs de guerres.

Il ne joue pas, il s'applique à manger proprement : l'anguille doit glisser dans l'œsophage...

Je t'en prie, si tu as envie de le dire, ne te prive pas. D'autant que tu tutoies.

Maïette n'a pas réussi à faire signer au cormoran l'autorisation de publication...

Joseph Favre, dans son Dictionnaire universel de cuisine pratique, nous dit que « la couleuvre est comestible, c'est-à-dire qu'elle a une grande analogie avec l'anguille ; sa chair est plus grasse et plus tendre, et partant plus délicate, mais elle est très peu usitée dans l'alimentation. Seules, les peuplades nomades en font leur régal en les rôtissant sur la braise.»

Fait-il allusions aux Roms ?

Me revoilà...

Alors, Tristan Corbière : il se trouve que je suis en contact avec un poète de Morlaix, Jean-Albert Guénégan, qui prépare quelque chose en 2011, du genre timbre-poste et tutti quanti... A suivre...

Par ailleurs, j'avais aperçu les allusions aux massacres de Conlie... (voir ton article.)

Enfin, - et ça n'a rien à voir -, je me demande si les anguilles ont l'habitude de faire des sauts hors de l'eau, comme les carpes ou les gardons...

Et si pour animer d'ennuyeux  dîners on jouait au cormoran ???

Rebonjour.

Pour l'avoir observé, le cormoran rejette en l'air sa proie jusqu'à ce qu'il parvienne à la saisir par la tête. et la faire disparaître dans son gosier comme un avaleur de sabre.

Commence avec des sardines à l'huile...

La fin de ton commentaire... là... les quatre derniers mots : une contrepèterie ?

De fil en anguille, on en revient aux midinettes...et Bella Ciao.

Sacré non de non, comment qu'y peut 'core jouer avec la nourriture dans ces temps de vaches maigres

MAGNIFIQUE..!

On rêve d'un tel cliché logé dans son boîtier.

Il existe une bonne revue : "Image & Nature". J'encourage Maïette à envoyer cette photo à la rédaction : cette photo mérite d'y paraître pour le plus grand bonheur de ses lecteurs...

Votre lectrice, 'collaboratrice" (?) a bien du talent, Monsieur Yves !

Oncle pa jaloux du tout...

Pendant que la bande du Fouquet's veut nous faire avaler des couleuvres... les cormorans dégustent des anguilles !

Je laisse à monsieur Topa "le Tzar dîne à l'huile...". vu que c'est du macrau qu je bouffe à l'heure ou j'écris.

A Saint Malo, ce soir, le vent souffle et j'ai du mal à respirer. Et la Manche se retire, j'en ai les mains glacées. Mais qui n'a pas travaillé dans les parcs à huîtres ne sait pas c'est quoi un travail pénible. En tout cas, pas les Chatel (le bien nommé), ni le Woerth, ni l'autre, chef de bande qu'auirait une carla dans son pieu..

Hector san malo