• Bêê

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    Un défenseur de l'agriculture française – maréchal oublié – déclarait que l'entrée des Cosaques serait moins désastreuse qu'une invasion de moutons étrangers. Il y a peu à craindre de ceux-ci, sinon qu'ils me distraient... Aussi revenons à nos moutons : on voit clairement sur l'écran de quoi rassurer celles et ceux qui attendent leurs illustrations.

    « Bière au barTôt levé »

  • Commentaires

    1
    Vendredi 9 Septembre 2011 à 06:13

    dans les champs ils ont le regard plus terne.. est-ce ton âme d'enfant qui les éveille ainsi ?

    2
    Vendredi 9 Septembre 2011 à 07:24

    La souris n'est pas trop jalouse ?...

    3
    Vendredi 9 Septembre 2011 à 09:06

    Les moutons sont pluss intéressés par ta tronche que par tes œuvres sur l'écran !

    4
    Vendredi 9 Septembre 2011 à 10:21

    C'est ça : boutons-les !

    5
    Vendredi 9 Septembre 2011 à 10:24

    Pline disait que les animaux à laine étaient les plus stupides des animaux. Et il ne parlait pas de leur regard.

    6
    Vendredi 9 Septembre 2011 à 10:26

    Elle a bien d'autres préoccupations : sa petite led clignote, ce qui signifie, en langage de souris, que sa batterie est presque déchargée.

    7
    Vendredi 9 Septembre 2011 à 10:29

    C'est bien ce que disait Pline : « La partie la plus faible chez le mouton est la tête, aussi faut-il le faire paître le dos tourné au soleil.»

    8
    Flora
    Jeudi 7 Août 2014 à 17:59

    On accuse les moutons étrangers de venir manger l'herbe des moutons français ?

    A-t-on pensé à les reconduire à la frontière à coups de béliers?

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